AUTEURS

A B C D E F G H  I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

A

Professeure depuis 2004 à la FreieUniversität de Berlin, ses domaines de recherche portent sur les relations entre littérature et photographie au XIXe et au XXe siècles, la poétique du primitivisme chez Michel Leiris, l’anatomie ainsi que sur la physiologie des passions dans la nouvelle romane entre Giovani Boccaccio et Madame de Lafayette.

Cahier Leiris n°1, novembre 2007
« Pour une lecture poétique de la Langue secrète des Dogons de Sanga » p. 288-348

Maître de conférences en littérature française – Université de Nantes. Auteur d’études liées au surréalisme, il s’est intéressé à certaines personnalités aux marges de ce mouvement : Claude Cahun ou Jacques Viot. Il prépare actuellement l’édition critique complète des Lettres de guerre de Jacques Vaché. Ses travaux de recherche portent sur les interactions entre le politique et l’artistique principalement durant les années 1920-1930.

Né à Minorque en 1989, il a publié Calidoscopi (El Gall Editor, 2007), Funàmbuls de llum (Vienaedicions, 2009) et Hi ha el dauamb porta (Gnurf, 2012). Il a traduit en catalan une sélection de poèmes, extraits de l’œuvre d’Antonin Artaud, notamment l’Ombilic des limbes, le Pèse-nerfs et Héliogabale.

Cahier Artaud n°2, octobre 2015
« Ainsi tombe / Axicau », p. 246-253

Doctorant en philosophie à l’université de Besançon.

Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« la Part Maudite de Georges Bataille. La dépense et l’excès,
Christian Limousin et Jacques Poirier (dir.) », p. 150-156
« “Georges Bataille ou l’expérience des limites”, les Hommes sans épaules n° 37 », p. 157-158

Psychologue-Psychanalyste.
A collaboré plus récemment avec les éditions L’Ollave et Ecbolade.

Après une thèse réalisée sous la direction de Jean-Yves Pouilloux et consacrée à la confrontation entre André Breton et Georges Bataille, il publie deux essais consacrés à André Breton : André Breton, Georges Bataille : le vif du sujet (L’écarlate, L’Harmattan, 2012) et Comprendre Breton (Max Milo, 2015). Il est également l’auteur de trois romans : Trois langues dans ma bouche (Belfond, 2015), Le mal des ardents (Belfond, 2017) et Et vous m’avez parlé de Garry Davis (Anne Carrière, 2020). Il signe de nombreux articles dans des ouvrages collectifs ou en revues (Cahiers Bataille, Daïmon…). Il est le directeur de rédaction des Cahiers Breton.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Autopsie du Cadavre » p. 59-73
Cahiers Bataille n°4, mars 2019
« Surréalisme »

Romancière, essayiste et critique littéraire française. Elle a publié une biographie sur Michel Leiris, et écrit régulièrement des articles pour le Magazine Littéraire. Elle est membre du comité de parrainage des Cahiers Leiris.

Professeure associée au département de français et d’italien de l’université du Colorado, elle est docteur en lettres françaises (Pd.D) de l’université de Californie, où elle a soutenu une thèse de doctorat sur la contestation littéraire dans l’œuvre de Bataille. Elle a publié en 2009 Georges Bataille, la terreur et les lettres (Presses universitaires du Septentrion) et rédigé de nombreux articles universitaires sur Bataille, Francis Ponge, Pierre Michon, Boubacar Diop et Marie N’Diaye.Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Bataille.

Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« Bataille et ses bêtes », p. 31-49

B

Peintre, dessinateur et écrivain, son travail se situe à la croisée de la peinture et de l’écriture. Il a illustré de nombreux livres d’écrivains et de poètes majeurs: René Daumal, Victor Segalen, Blaise Cendrars, Julien Gracq, Bernard Noël, Salah Stétié, Georges Bataille, etc. Son œuvre s’égrène aussi quotidiennement à travers carnets et journaux de peintures.

Cahiers Bataille n°3, novembre 2016
Dessins, p. 22-27

Peintre, graveur et lithographe. De nombreuses rétrospectives de ses livres d’artiste, de ses peintures et gravures lui sont régulièrement consacrées.

Cahiers Bataille n°1 , octobre 2011
« Dessins originaux », p. 228, 237
Cahiers Leiris n°3 , mai 2012
« Dessins originaux », p. 12

Fille de Georges Bataille, dont elle est l’exécutrice testamentaire, elle est membre du comité de parrainage des Cahiers Bataille.

Écrivain français né en 1930 à Paris.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Séparations », p. 179-189

Titulaire d’un doctorat en études littéraires de l’Université de Sherbrooke, dont les recherches lui ont valu le Prix de la meilleure thèse 2011-2012 dans le secteur des « Lettres et Sciences humaines et sociales », Mélanie Beauchemin s’intéresse à la marginalité des figures féminines dans la littérature. Coordonnatrice du Centre Anne-Hébert, elle a collaboré au projet d’édition critique de l’œuvre d’Anne Hébert sous la direction de Nathalie Watteyne ( Université de Sherbrooke ) de 2004 à 2013, et a établi, avec Lori Saint-Martin ( Université du Québec à Montréal ), l’édition critique des Enfants du Sabbat ( 2014, Presses de l’Université de Montréal ). Son ouvrage, Le désir monstrueux. Transgressions et métamorphoses dans les récits d’Anne Hébert, a paru en 2016 aux Éditions Triptyque. Un essai, explorant « l’envers du monde » dans les textes de Georges Bataille et d’Anne Hébert, est à paraître aux Éditions Nota bene en 2020. Elle est codirectrice de rédaction des Cahiers Laure depuis 2017.

Docteure en philosophie à l’Université de Paris 8, elle est l’auteure d’essais, de romans, de poèmes, d’articles en philosophie (sur Deleuze, Badiou, Sartre, Nietzsche), et membre du comité de rédaction de la revue Lignes et du comité de lecture des Cahiers Artaud.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Ceci n’est pas une pré-glossolalie qui fait son Antonin », p. 124-125

37 ans. 1.81m. 61 kilos. Une vingtaine de combats. Pour environs dix victoires. Pseudo : Egon. Agent 0075 des légions Artaud. Ecrit des romans expérimentaux. Ecoute Die Antwoord. Pratique le combat de rue. Regarde en boucle Seul contre tous. Ne lit pas. Prend des drogues et expérimente le texte halluciné. Punk isdead sera son épitaphe. Il est publié principalement chez Al Dante.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Légions Artaud vs. Envoûtements et conspirations du laboratoire social », p. 181-187
Cahiers Artaud n°3 
, septembre 2017
« Aux faiseurs d’histoires embobinées », p. 121-124

Né en 1975, Arno Bertina est l’auteur de romans tels que le Dehors ou la migration des truites et Appoggio (Actes sud, 2001 et 2003), qui forment un ensemble avec Anima motrix (Verticales, 2006) au sein duquel les personnages tentent de s’arracher à ce qui les écrase. Dans Je suis une aventure (Verticales, 2012), RodgeurFédérère (sic) tente de retrouver le chemin du mouve¬ment, d’un rapport plastique à sa propre identité. Il est par ailleurs l’auteur de récits, et de courts romans écrits dans les marges de travaux photographiques, notamment la Borne SOS 77 et Numéro d’écrou 362573 (Le bec en l’air, 2009 et 2013).

Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
« Appartenir à l’illimité. Trois conférences et leur fortune diverse », p. 67-73

Maître de conférences et professeure agrégée de lettres à l’IUFM d’Aix-Marseille. Ses recherches portent surtout sur la mémoire des textes dans les processus d’écriture, l’intertextualité, les lectures d’enfance et la littérature de jeunesse.

Cahiers Artaud n°2, novembre 2009
« Littérature sans mémoire. Lectures d’enfance de Michel Leiris », p. 67-88
Cahiers Artaud n°3 , mai 2012
« Leiris et Benjamin », p. 55-72

Né en 1950 à Paris, Zéno Bianu est l’auteur d’une œuvre multiforme qui interroge l’écriture, le théâtre, le jazz et l’Orient. Ses textes ont notamment été publiés chez Gallimard, Fata Morgana, Actes Sud/Papiers et au Castor Astral. Dernier ouvrage paru : Infiniment proche et le Désespoir n’existe pas (Poésie/Gallimard).

Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
« Visage trou de lumière », p. 213-220

Chercheur, écrivain, plasticien, directeur de recherche au C.N.R.S., producteur délégué à France Culture, auteur de films pour Arte, il a publié une trentaine d’ouvrages et environ deux cents articles sur Flaubert, la critique génétique, l’art, les humanités numériques. Son œuvre de plasticien a donné lieu à une cinquantaine d’expositions et à six commandes publiques en France et à l’étranger.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« Irène », p. 199-205
Site : pierre-marc-debiasi.com

Écrivain et romancier, prix Goncourt du premier roman pour Hhhh en 2010, Laurent Binet s’est intéressé également à l’œuvre et à la vie de Roland Barthes dans la Septième fonction du langage.

Directeur artistique du Théâtre du Hangar-Compagnie, à Montpellier, il est également auteur, metteur en scène, comédien et décorateur. Il enseigne le jeu dramatique à l’Université Paul Valéry de Montpellier.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Qui êtes-vous Michel Leiris ? », p. 283-318

Critique d’art et commissaire d’exposition indépendante, elle collabore régulièrement depuis 2006 à la revue Art Press. En 2013, elle entame une recherche curatoriale fondée sur un principe d’écriture de l’exposition : par exemple, Bruissements, avec les Nouvelles Vagues du Palais de Tokyo ; et plus récemment Documents 1929-2015, à l’U.R.D.L.A.-Centre international estampe & livre, dans le cadre de la Biennale de Lyon 2015. Elle travaille actuellement à une trilogie d’expositions librement adaptée de la pensée de Georges Bataille qui aura lieu au Lab Labanque de Béthune en 2016, 2017 et 2018.

Cahiers Bataille n°3 , novembre 2016
« Journal traversé», p. 165-185

Né en 1986 à Paris, Yohan Blanco a été pendant plus d’une dizaine d’années
musicien batteur. Passionné par l’image, il s’intéresse au cinéma et commence à travailler comme vidéaste. Courts-métrages, courts-métrages d’animation, clips vidéo pour groupes de musique, clips vidéo de présentation d’artistes, participation aux tournages de long- métrages, captations de spectacles vivants et enregistrements studio, montage vidéo, écriture de scénarios, toute expérience vécue le nourrit et lui donne l’envie d’aller toujours plus loin dans l’aventure qu’il vit avec l’image. La rencontre avec Anton Solomoukha fut un moment important pour Yohan Blanco qui est devenu rapidement son disciple. Connu comme l’inventeur d’un nouveau genre dans la photographie contemporaine – la « photo peinture », associant l’image photographique avec la recherche picturale dans ses mises en scène multi-figures –, Anton Solomoukha a transmis à Yohan Blanco ses recherches, sa technique mais aussi son amour pour le mouvement dada et le surréalisme.

Cahiers Sade n°1 , août 2020

Professeure à l’Université du Colorado depuis 2002, elle est spécialiste de la poésie des XIXe et XXe siècles, de la théorie critique et de philosophie. Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Bataille.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015

Philosophe, collaborateur des Cahiers de Médiologie et spécialiste de Louis Aragon, auquel il a consacré de nombreux essais. Il a dirigé l’édition des Œuvres romanesques d’Aragon dans la bibliothèque de la Pléiade (cinq volumes).

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« Papiers d’identité ? », p. 83-95

Né en 1936, Gilbert Bourson a été metteur en scène et comédien. Il a publié
plusieurs livres de poésie, des romans et des essais publiés chez divers éditeurs :
Chasseur abstrait, la Grisière ( Saint Germain des Prés ), Compact, Z4, Jebca
( Boston, Etats-Unis )… Il a participé à l’anthologie 49 poètes, un collectif, dirigée par
Yves di Manno (Flammarion). Il a publié dans plusieurs revues : Arpa, Cheval
d’attaque, Cahiers du double, les Carnets d’Eucharis, Polyphonie, Substance ( Etats-Unis ), Action poétique, Travail théâtral, Tinbad. Dernier ouvrage paru : Phases (Éd. Tinbad, 2020). Une grande partie de ses œuvres sont publiées au « Chasseur abstrait ». Il collabore à la revue en ligne de cet éditeur, la RALM. Il vit et travaille en région parisienne.

Cahiers Sade n°1 , août 2020

Chercheuse indépendante.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Michel Leiris, enfant de remplacement. Deuil, cryptes et fantôme dans Aurora », p. 39-64

Spécialisée en lettres romanes et « cultural studies », elle est privat-docent à l’Université Humboldt de Berlin. Auteure d’une thèse sur le renoncement de l’amour et du mariage, elle a organisé en 2010, à Osnabrück (Allemagne), un colloque international sur les relations entre littérature et communauté.

Cahiers Laure n°1, octobre 2013
« Le motif du regard », p. 62-73

Artiste et photographe formée à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris et à l’Atelier National de Recherches Typographiques de Nancy, elle est vite amenée à interroger la relation qu’entretient la photographie avec les autres arts, le dessin et la littérature en particulier. En 2010, elle est commissaire de l’exposition le Chat de Barcelone (comment exposer la pensée cinématographique d’André S. Labarthe), à la Maison d’Art Bernard Anthonioz de Nogent-sur-Marne. De 2011 à 2013, elle est pensionnaire de l’Académie de France à Madrid. Son travail est représenté par La Galerie Particulière à Paris et à Bruxelles. Elle expose très régulièrement en France et à l’étranger.

Cahiers Bataille n°3 , novembre 2016
« Journal de l’œil », p. 165-185

Écrivain britannique qui a écrit près de cinquante livres, Paul Buck a dirigé la publication du magazine Curtains dans les années 1970, publiant notamment des textes de Georges Bataille. Il a aussi traduit des textes de Bernard Noël, Pierre Klossowski, Pierre Gutoyat, Colette Thomas, Catherine Breillat et Raul Ruiz.

Christa Bürger est spécialiste de littérature allemande, professeure de littérature à l’Université Johann-Wolfgang Goethe de Francfort-sur-le-Main de 1973 à 1998. Ses recherches ont d’abord porté sur l’histoire de la réception de la littérature des Lumières ; elles se sont ensuite tournées vers l’esthétique moderne et le rôle social des femmes écrivains des Lumières au Romantisme, l’amenant à élaborer une théorie féministe de la littérature.

Ami intime de Michel Leiris, il est membre du comité de parrainage des Cahiers Leiris.

C

Ancien élève de l’École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, agrégé de lettres modernes, il est aujourd’hui professeur de chaire supérieure au lycée Henri IV à Paris.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« Fantaisie d’auteur et scène romanesque », p. 99-111

Née en 1976 et originaire des Ardennes, Ursula Caruel vit et travaille à Arles. Elle est diplômée en design textile et design d’intérieur. Elle a été soutenue par le Musée Soulages de Rodez et les acteurs de l’art contemporain français. Son travail, nourri de son amour pour la poésie et pour la musique, propose un accès direct à l’émotion présente. Le végétal est un fil rouge dans ses créations. Ursula Caruel est représentée par Dupré& Dupré Gallery.

Peintre et graveur (1923, Varsovie – 2011, Ivry-sur-Seine). Rescapé du Ghetto de Bialystok, et de cinq camps nazis en Pologne et en Allemagne, dont Auschwitz-Birkenau, de la Marche de la mort, puis d’un camp soviétique en Moravie. Son œuvre comporte ces volets : Mémoire (peintures monumentales, petites compositions à l’huile, gravures) ; portraits et maternités ; nus et érotiques ; paysages ; natures mortes (toiles, aquarelles, gravures, dessins). Expositions personnelles dans de nombreux musées de France et du monde (Pologne, Norvège, Hollande, Israël, etc.), Salons et Galeries. Œuvres dans des collections publiques en France et à l’étranger. Chevalier des Arts et des Lettres (1967) ; Prix mémoire de la Shoah (1993) ; Prix Witold Wojtkiewicz (2006). La gravure présentée page 86 de ce numéro se rattache à l’une des 3 suites « Polonaise », « Ghetto », et « Camps », part tragique de l’œuvre consacrée au martyrologe du peuple juif. En contrepoint de l’expérience de mort, la toile présentée page 85 de ce numéro se rattache à une grande série de portraits qui sont autant d’hymnes à la vie.

Fille d’Aimé Césaire, elle réalise des films ethnographiques, publie des recueils de contes et s’implique dans des pièces de théâtre. Au CRNS, elle est chargée de mission à la conservation du patrimoine de Martinique. Elle est membre du comité de parrainage des Cahiers Leiris.

Chercheur indépendant, il publie principalement sur l’avant-garde historique.

Cahiers Bataille n°2, octobre 2014
« Resté sans suite. Magritte illustrateur de Madame Edwarda », p. 147-174

Il a étudié la peinture et la gravure dans l’atelier d’Henri Goetz. Sa première exposition personnelle se tient en 1981. S’en suivront cent soixante autres. Il travaille avec de nombreuses galeries, en France comme à l’étranger, et a participé à plus de quatre cent cinquante expositions collectives.

Cahiers Leiris n°1 , novembre 2007
« Connivence » p. 285, « Ecumes de la Havane (XI) » p. 286-287,
« Sans chaînes » p. 378-379

Jeune comédien au théâtre de La Comédie de Lyon, il accompagne Roger Planchon, pour la première saison du Théâtre de La Cité. Il travaille auprès de Gabriel Monnet pendant une saison à la Comédie de Bourges. De retour à Villeurbanne il crée sa compagnie, le Groupe 64. Il est assistant de Jacques Rosner puis de Roger Planchon jusqu’à l’ouverture du T.N.P. de Villeurbanne. Il quitte le T.N.P. Pour construire, au cœur de Lyon le Théâtre Les Ateliers qu’il dirige jusqu’en décembre 2013.

Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
« Printemps 68. Le temps retrouvé du théâtre », p. 127-133

Agrégée de Lettres, membre du Comité scientifique du site andrebreton.fr, elle a publié plus d’une quinzaine d’ouvrages sur le surréalisme. Elle a enseigné à l’Université Denis-Diderot-Paris 7, et a été invitée comme Visiting Professor à l’Université de Princeton, New Jersey, États-Unis, en 2001-2002. Elle a fondé la revue Pleine Marge, Cahiers de poésie, d’art plastique et de critique en 1985, qu’elle a dirigée jusqu’en 2009.

Cahiers Laure n°1, octobre 2013
« Leonora Carrington et Laure », p. 97-112
« Laure suivi de Laure après Laure », p. 146-151

Acteur et critique de cinéma.

Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
« Deux – Plan foudre », p. 115-128

Professeur de philosophie morale à l’Universitàdeglistudi di napolifederico II de Naples (Italie). Il est membre du groupe Chaosmos, un collectif d’écrivains, de philosophes et de sociologues actifs à Naples. Il a organisé de nombreux séminaires et congrès au cours de sa carrière. Depuis 1997, il participe à l’élaboration de plusieurs magazines littéraires tels Il piccolo Hans -Il Cefalopodo et Ambulatorio

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Rien ou la langue des formes », p. 181-196

Docteure ès Lettres de l’Université de Bologne (Italie), elle enseigne la littérature comparative à l’Université de Haute-Alsace. Membre de l’ILLE (Institut de recherche en Langues et Littératures Européennes), ses domaines de recherche concernent la critique de la littérature européenne, la poétique et l’esthétique de l’avant-garde, la représentation de l’espace et des idéologies en littérature. C’est une spécialiste de l’œuvre de Robert Desnos et de René Crevel.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Le merveilleux surréaliste de Michel Leiris et la conciliation avec la modernité », p. 21-36

Auteur de nombreux articles sur la littérature française du XIXe et XXe siècles, il occupe depuis 1993 la chaire de Littérature française moderne à l’Université du Cap (Afrique du Sud). Il a publié plusieurs livres sur Rimbaud, Jarry, Apollinaire, Cendrars, Bataille, Céline, et est l’un des traducteurs de l’œuvre de John Maxwell Coetzee.

Cahiers Bataille n°1 , octobre 2011
« Bataille entre boudoir et bibliothèque », p. 85-94

58 ans, né, vit et travaille à Paris. La silhouette nonchalante de Vincent Corpet hanta quelques temps les couloirs de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. L’atmosphère un peu rance du lieu, l’anachronisme de ces relents essentiels devaient décider de son irrémédiable intoxication à la térébenthine. Refusant le bonheur sérigraphique promis par les exercices spirituels de la dernière avant-garde conceptuelle, Corpet découvre dans l’œuvre de Bataille les voies d’une gnose rétinienne. L’Art, la peinture sont désormais pour lui le récit quotidien, l’histoire d’un œil capricieux et vagabond. Tout, dans, et par un seul organe : la réalité la plus « rugueuse à étreindre », le jeu le plus libre et fantasque d’un pinceau en mouvement. En près de quarante ans et 3800 tableaux plus tard : 50 expositions personnelles (Musées de Saint-Étienne – Nice – Delacroix – Ingres ; galerie Templon etc.). Et une cinquantaine d’expositions collectives décentes (Beaubourg – Biennales de Venise de Lyon de Pusan etc.). Un certain nombre de catalogues. Présent dans quelques collections publiques, et un nombre plus important de collections privées.

Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
Dessins p. 193, 209-211

Elle est membre fondatrice du groupe Bazooka avec Lulu Larsen, Loulou et Kiki Picasso en 1974. Elle publie des bandes-dessinées dans Charlie mensuel, Métal Hurlant et crée des pochettes de disques pour les Rita Mitsouko et Brigitte Fontaine. Elle peint et a exposé ses œuvres ses trois dernières années à la Villa Médicis, à la Cité de la musique et à Maison rouge. Elle expose régulièrement à la Galerie Corinne Bonnet à Paris.

Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
Dessins p. 19

Philosophe, il vit à Paris et enseigne à l’École Supérieure d’Art d’Annecy. Cofondateur de la revue Failles, il achève une thèse sous la direction d’Alain Badiou et a notamment publié plusieurs essais consacrés à la question de l’émancipation.

Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
« Le théâtre du “réel” », p. 75-88

Ancienne professeure de Lettres à l’Université de Palerme.

Cahiers Leiris n°1 , novembre 2007
« Mythologies de la maison familiale dans l’Âge d’homme et dans Biffures », p. 166-184

Professeur associé à l’Université Carleton au Canada, il a fondé en 2002 post-scriptum.org, un journal de recherche interdisciplinaire. Il poursuit aujourd’hui ses recherches sur Michel Leiris, le discours ethnographique dans la littérature française du XXe siècle et le patrimoine écrit de la Nouvelle-France. Il est directeur de rédaction et membre du comité de lecture des Cahiers Leiris.

Cahiers Leiris n°3 , mai 2012
« Traduire l’Afrique fantôme, suivi de Le langage de Leiris est un défi, entretien avec Florence Ferrari », p. 121-128

Il a obtenu un Master de Bande Dessinée à l’École Européenne Supérieure de l’Image. En 2012, il crée la maison d’édition Rutabaga et son premier roman graphique Lidocaïne, sélectionné l’année suivante par la Cité Internationale de la Bande Dessinée. Il prépare actuellement une thèse en Littérature Générale et Comparée à Paris 8 sur le roman graphique. Ses recherches portent sur la manière de repenser un format à succès selon des pratiques transmédiatiques.

Cahiers Aragon n°1, juin 2015
« Le nom d’Elsa », p. 97

D

Née au milieu des années 1980, Clémentine D. Calcutta est historienne de l’art et auteure. Elle a fait ses études universitaires entre Lyon, Philadelphie, Québec et finit son cursus diplômée de Paris IV-La Sorbonne. Le surréalisme, le kitsch et l’érotisme sont inextricables de sa vie et servent son propos. Après de nombreuses collaborations au sein de journaux et blogs artistiques indépendants ( Boum Bang, Le Tag Parfait, Le Bateau ), elle a publié Tatouée sur canapé, une réflexion autobiographique sur le tatouage (Éditions Dystopic, 2017).

Cahiers Sade n°1, août 2020

Agrégé de philosophie, poète majeur du XXesiècle et essayiste, Michel Deguy est l’auteur, depuis 1959, d’un nombre considérable d’œuvres poétiques, de textes théoriques et d’entretiens. Récompensé en 2004 par le Grand prix de l’Académie française, il dirige la revue Poésie.

Apprenti nomade depuis peu, il s’obstine sans trop savoir pourquoi, dans un monde qui n’en demande pas tant, à écrire des livres de poésie. Il a créé en 2002 la revue Moriturus et les éditions Fissile.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Caisson dégondé », p. 198-203
Cahiers Artaud n°2, octobre 2015
Dessins, p. 205-211

Artiste peintre, il est l’un des fondateurs de l’hebdomadaire Politis. Il a organisé avec Mamadou Konté les premières organisations de luttes dans les foyers, Révolution Afrique et Africa Fête.

Cahiers Bataille n°1 , octobre 2011
« Illustration de Histoire de l’œil », p. 146
Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« La Passe. Hommage à Michel Leiris », p. 193-195

Étudiant en philosophie à l’Université Paris I, son projet de thèse rapproche Artaud de phénoménologues autour des notions de cosmologie métaphysique, de culture et de corps.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Le démêlé des révoltés. Artaud surréaliste », p. 40-48

Née en 1972, elle étudie les arts plastiques à Saint-Etienne avant de partir, en 2000, s’installer à Barcelone. En 2007, son premier ouvrage, Lobas, est publié en Espagne aux éditions SinsEntido. En avril 2009, elle revi¬ent en France et s’installe à Angoulême où elle est accueillie en résidence à la Maison des auteurs. Elle y réalise son deuxième ouvrage, l’Heure du loup, inspiré de ses rêves notés depuis 1996 (Éditions L’Apocalypse, 2013). Parallèlement, elle travaille sur des séries de dessins puis revient à la Maison des auteurs pour réaliser l’Amour dans le cimetière, son troisième album toujours inspiré de ses rêves.

Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
Dessins, p. 27, 261, 262

Historien et chercheur spécialisé dans l’histoire contemporaine de l’Éthiopie, ses thèmes de recherches s’orientent autour du patrimoine, de la culture mémorielle, de la construction identitaire en Éthiopie, et de la géopolitique des religions dans la Corne d’Afrique.

Cahiers Leiris n°3 , mai 2012
« Culte des zar en Abyssinie », p. 159-170

Professeure au département de Philosophie, Communication et Spectacle à l’Université Rome 3.

Cahiers Bataille n°1 , octobre 2011
« “Moi, j’existe” connaissance et existence », p. 95-114

Actrice, dramaturge et monteuse, co-fondatrice du laboratoire de recherche et création théâtrale Terribilità. Antonin Artaud, S.I Witkiewicz, Sade, Pier Paolo Pasolini, les romains du Ier siècle, Laure et Bataille, sont les écritures qu’elle a traversées en scène, une scène toujours à réinventer dans la continuité et l’archéologie de ses grands réformateurs, Craig, Appia, Meyerhold, Kantor dont Antonin Artaud est l’une des figures les plus obsédantes. Elle a joué Van Goghle suicidé de la société et proposé des conférences/lectures des Derniers Cahiers d’Ivry. Elle est membre du comité de parrainage des Cahiers Artaud.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Je t’ai mis mon cœur dans ton corps pour que tu te souviennes de ce que tu as oublié », p. 154-155
Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
« Et cætera (Cahiers d’Ivry) », p. 99-113
Cahiers Sade n°1 , août 2020

Ancien étudiant de l’École Boulle, puis enseignant en photographie aux Gobelins, Bruno Dumas est aujourd’hui peintre et photographe à Nantes. Il travaille en particulier sur les présences objectales, la perception des structures psychiques, les architectures organiques ou encore les révélations surprenantes des sels argentiques lorsqu’ils sont modifiés par les prises de vue au sténopé.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« La violoncelliste », p. 112-115

Professeur de littérature comparée à l’Université de Paris Ouest-Nanterre-La Défense et directeur du Centre de recherche en « Littérature et Poétique comparées », il travaille sur les rapports entre littérature, philosophie et psychanalyse, les mythes littéraires, le théâtre du XXe siècle et les rapports France-Brésil. Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Artaud.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Sujet Artaud », p. 26-27
« Lacan avec Artaud. De “l’entre-deux-morts” à la “tropulsion de vie” », p. 70-83
Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
« Artaud la peste », p. 27-38

A publié un essai sur Bataille, des livres avec des peintres (Dominique Deboffle et Dominique Laigle). Il a dirigé la revue Camera/Stylo et écrit régulièrement dans Trafic.

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Comment écrire ? », p. 13-15

Docteur en histoire de l’art contemporain, il poursuit des recherches autour du surréal¬isme d’après 1945. Auteur de Surréalistes et situationnistes, vies parallèles (Dilecta, 2008) et de 1968, année surréaliste (Imec, 2008). Membre de la Revue des revues et secrétaire des Cahiers Benjamin Péret, il collabore régulièrement au C.C.P., à MidiInfosurr et Critique d’art.

Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
« Plan panoramique avec alternance d’écrans noirs », p. 51-54
Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
« Artaud, Adamov : “… c’est-à-dire nulle part” ? », p. 53-61

E

Photographe.

Cahier Bataille n°1, octobre 2011
« Joelle Rollet, Laura Frigato, photographies d’Histoire de l’œil » p. 36, 42, 46, 53

Artiste et philosophe de formation, Benjamin Efrati est aussi musicien, dessinateur et réalisateur. Né à Genève en 1985, il développe un univers transdisciplinaire à travers son usage du langage. Membre fondateur du collectif Miracle, il a aussi collaboré à plusieurs projets d’édition comme le média en ligne Droguistes. Il se concentre actuellement sur la composition de bandes-sons pour le cinéma d’animation et la création d’une maison de retraite alternative.

Cahier Sade n°1, août 2020

F

Photographe et plasticien, ses thèmes de prédilection sont le mot, la lettre, le signe, la superposition et l’in situ. Il manie plusieurs supports d’expression : la photographie, l’écriture, l’installation, le verre, la vidéo et la poésie concrète.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« “Le petit actionnaire de diction”.
Glossaire en hommage et à la manière de Michel Leiris », p. 354-367
« Les PHOTd’orthOGRAPHIES », p. 245-261
Cahiers Leiris n°2, novembre 2009
« Quatre directions », p. 110-111

Diplômé en architecture d’intérieur et détenteur d’un master Bandes dessinées de l’E.E.S.I., il tire son inspiration du patrimoine et de la culture du Liban où il est né. Dans sa peinture, il privilégie le mix-media pour sa souplesse, sa spontanéité et sa plasticité. Ses sujets de prédilection s’inspirent d’un quotidien teinté d’humour et de fantastique, tout en saisissant le plus authentiquement possible une vérité sociale.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
Sans titre, o. 24

Auteure, elle s’intéresse à l’art, la philosophie et la psychanalyse. Ces trois sphères nourrissent son travail romanesque en même temps qu’ils donnent lieu à la publication d’articles dans des revues de littérature et d’art contemporain.

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Le désir nu », p. 207-210

Poète et critique, il participe depuis 2001 à l’organisation des lectures publiques « Ici poésie » à Caen. Il a publié des textes dans les revues le Mâche-Laurier, Petite, Action Poétique, Rehauts, N4728, Boudoir.

Cahiers Bataille n°3 , novembre 2016
« B. en 12 coups », p. 187-199

Professeure à l’University de Durham (Angleterre), ses recherches portent sur les groupes d’avant-garde, la question de la modernité en littérature et son impact sur l’écriture de soi. Elle est directrice de rédaction et membre du comité de lecture des Cahiers Laure.

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Les mots de Laure », p. 51-61

Écrivain, poète et philosophe. En 1964 il reçoit le prix Renaudot pour l’Écluse (Seuil). Il a fondé la revue Change en 1967. Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Laure.

Professeure à l’Université de Cambridge, ses recherches portent sur la littérature, l’ethnologie, la philosophie continentale, la psychanalyse, D. H. Lawrence et Georges Bataille. Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Bataille.

Écrivain et directeur éditorial des Éditions du Grand Souffle, il est également traducteur de Hölderlin, Trakl et Rimbaud.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Artaud remercié », p. 84-85

Après avoir créé au milieu des années 1970 plusieurs groupes aussi expérimentaux qu’éphémères, il finit par préférer le synthétiseur à la guitare et crée Marteau Rouge en 1992. Il rencontre Sylvain Guérineau, saxophoniste, en 2005, ce qui l’entraîne à jouer de plus en plus régulièrement avec les acteurs de musiques improvisées.

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Laure – Extraits du silence », p. 211-227

Artiste plasticien, sa première exposition personnelle a lieu en 1993 au Museum of Modern art d’Oxford. Ses tableaux sont copiés, peints, comme enluminés, à partir de documents préexistants (modèles de tissus, cartes géographiques, images et textes, etc.). Il défend une idée de combinaison, d’appropriation, qui le mène à la création de parcours qui sont ceux de la pensée.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« Louis Seye & Michel Leiris » p. 20-21,
« Recueil de reliques (Michel Leiris & Glencoe) » p. 43-45,
« Babel’s Tower » p. 68-69,
« Michel Leiris & Patrick MacGoohan » p. 105-107,
« Pierres de taille » p. 130-131,
« Venise & Glencoe » p. 158-159,
« Puzzle & dominos » p. 160-165

G

Chercheuse en langue et littérature française à l’Universitàde glistudi, à Rome, elle est spécialiste de la littérature française de l’entre-deux guerres.

Cahier Bataille n°1, octobre 2011
« Définition de l’hétérologie », Georges Bataille, p. 229-236
Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« Georges Bataille – Lettres à Joseph Roche », p. 229-233

Dramaturge, metteur en scène, scéno-graphe, il est né en 1964 à Buenos Aires. Il quitte l’Argentine en 1986 et s’installe à Madrid, où il fonde La Carnicería Teatro en 1989. Ses pièces qui portent une dénonciation explicite des travers de nos sociétés occidentales reçoivent rapidement une reconnaissance internationale. Parmi elles, After sun (2000), J’ai acheté une pelle à Ikea pour creuser ma tombe (2002), l’Histoire de Ronald, le clown de McDonald’s (2002), Jardinage humain (2003) ou encore Agamemnon – à mon retour du supermarché, j’ai flanqué une raclée à mon fils (2004). Avec Et balancez mes cendres sur Mickey, (2006) Mort et réincarnation en cow-boy (2009) ou Daisy (2013), il engage une exploration plus personnelle et souvent plus abstraite du monde, dont il offre des métaphores dérangeantes et lucides. Il confronte le public à ses propres mystères, à ses peurs ou à ses fantasmes, non sans provoquer parfois la polémique, comme avec Accidens (2005) ou Golgotha picnic (2011). En janvier 2014, il est nommé directeur du Centre Dramatique National de Montpellier. Abordant son mandat de la même façon qu’il aborde une pièce, il renomme le centre Humain trop Humain. En mars 2016, il crée la performance filmée Hamlet Kebab d’après Shakespeare pour le théâtre La Commune CDN Aubervilliers. En juin de la même année, il signe la mise en scène de l’opéra l’Enlèvement au sérail de Mozart, dirigé par le chef d’orchestre Arthur Fagen au Deutsche Oper de Berlin. Les Solitaires Intempestifs, sa maison d’édition en France, a publié depuis 2001 une vingtaine de ses textes, dont deux recueils, Cendres (1996-1999) et Cendres (2000-2009).

Cahier Artaud n°3, septembre 2017
« À une spectatrice en colère », p. 137-140
« Raconter », p. 141-145

Auteure d’une thèse sur Gilles Deleuze et Félix Guattari, elle consacre ses travaux à l’étude du lien entre le théâtre et la philosophie française contemporaine. Elle a enseigné les études théâtrales dans les Universités de Lille et de Toulouse. Elle a créé un laboratoire, le LAPS, dédié à l’étude et à l’expérimentation de cette relation. Elle travaille, par ailleurs, à l’édition d’une dizaine de pièces de théâtre inédites, écrites par Félix Guattari entre 1979 et 1990.

Cahier Artaud n°1, octobre 2013
« Artaud et Deleuze : un désamour commun pour le théâtre ? », p. 126-136

Elle travaille à l’Institut Mémoires de l’édition contemporaine (IMEC). Elle a publié des textes dans les revues Grumeaux, larevue, Place de la Sorbonne.

Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« Scènes du puits », p. 201-213

Journaliste et spécialiste de théâtre, elle propage sa passion pour le spectacle vivant de toutes les façons possibles : sur France Culture, via la production d’un magazine hebdomadaire (« Changement de décor ») et la participation comme critique à l’émission « La Dispute », dans la presse écrite, où elle tient la rubrique théâtrale de l’hebdomadaire la Vie, intervient dans la revue Ubu et collabore ponctuellement à Télérama.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Il n’y a pas de preuves d’Artaud, il n’y a que des traces », p. 114-123

Écrivain et critique, son écriture oscille entre un pôle fictionnel et un pôle théorique, sans que la frontière qui les sépare soit toujours bien nette. L’écriture est au centre de ses préoccupations, en tant que lieu et manifestation d’une expérience originaire. Le temps est l’un de ses objets de méditation privilégiés, ainsi que le motif de la perte et du recommencement.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Un corps greffé sur rien », p. 58-64

Psychanalyste, membre du comité de rédac¬tion de la revue Lignes, elle contribue régu¬lièrement à d’autres revues (Penser/rêver, Multitudes, Vertigo).

Cahiers Artaud n°2, mars 2015
« Deux – Plan foudre », p. 115-128

Chercheuse indépendante.

Cahiers Leiris n°3 , mai 2012
« Leiris main à plume », p. 73-87

Doctorante en littérature française ( Université de Paris-IV Sorbonne ) et professeure agrégée de lettres classiques, Isabelle Goncalves est rattachée au Centre d’étude de la langue et des littératures françaises ( CELLF 16-18 ). Elle est membre de la Société française d’Étude du Dix-Huitième siècle ( SFEDS ), ainsi que d’Antiquité Territoire des Écarts, fondée par Florence Dupont. Son sujet de thèse sous la direction de Michel Delon s’intitule « Le rire de Sade ». Elle enseigne actuellement dans le secondaire dans l’Académie de Paris. Membre de Philomel, elle souhaite ouvrir davantage les œuvres de Sade aux problématiques du genre.

Cahiers Sade n°1 , août 2020

H

Auteur d’une thèse de doctorat sur Georges Bataille, il est maître de conférences en littérature française à l’Université Aoyama Gakuin de Tokyo.

Cahier Bataille n°1, octobre 2011
« Introduction du Bleu du ciel », p. 75-84

Critique d’art, elle a publié de nombreux articles sur Man Ray, Hans Bellmer, Francis Bacon, Ana Mendieta, Louise Bourgeois. Elle a co-fondé en 2011 la webradio culturelle Globe sonore à Montréal, qu’elle administre et qu’elle anime.

Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« Les “monstrueuses anomalies” du Bleu du ciel  », p. 51-72

Écrivain et essayiste québécois, il est professeur titulaire et directeur du département de littérature comparée de l’Université de Montréal où il dirige le laboratoire sur les récits du soi mobile. Il est aujourd’hui tourné vers un nouvel objectif : cerner les formes instables, et souvent conflictuelles, de la mobilité culturelle. Il est membre du comité de lecture des Cahiers Leiris.

Docteur d’État de l’université de Paris Saint-Denis, il est professeur au Catholic university of America de Washington DC. Son champ de recherche général est proche de ce que Claude Lefort désigne comme le « théologico-politique », c’est-à- dire les interférences entre religion, politique et société. Il s’interroge aujourd’hui sur la corrélation du nihilisme qui ronge la trame sociale des démocraties et la montée des terrorismes.

Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« La grève du négatif et la révolte contre l’Histoire », p. 113-126

Cyril Heriard Dubreuil entre au Conservatoire d’Art Dramatique de Paris en 1989. Il commence à travailler au Théâtre de Gennevilliers avec Bernard Sobel. Il collabore avec lui sur plusieurs pièces : Vie et Mort du roi Jean de Shakespeare, Le Pain dur de Claudel, Ubu roi de Jarry, Napoléon ou les 100 jours de Grabbe. Il travaille à des créations contemporaines avec Gildas Milin : Le Triomphe de l’échec, L’ordalie, Le Premier et le dernier ; ainsi que Gérard Watkins : Suivez-moi, et Route 33 ; avec Paul Golub dans sa mise en scène de Dans Le Vif de Marc Dugowson. Il travaille aussi sur des classiques : En Attendant Godot de Beckett (mise en scène de Philippe Adrien), Beaucoup de Bruit pour rien de Shakespeare (mise en scène de Ludovic Lafargue), Hamlet de Shakespeare (mise en scène de Danie Mesguish), Les Brigands de Schiller (mise en scène de Dominque Pitoiset). Il crée avec Jean-Paul Rouvrais la compagnie En Déliaison en 2008. Il a étudié le chinois à l’INALCO où il a obtenu un Master 2 de littérature. Il a joué dans deux spectacles en chinois de la compagnie qui ont tourné en Chine : La Nuit juste avant les forêts : éclats en 2013 et Identité en 2015. Il écrit pour le théâtre. Quatre de ses textes ont été lauréats du CNT, et trois ont déjà été créés avec la compagnie En Déliaison.

Cahier Sade n°1, août 2020

Enseignant-chercheur en histoire contemporaine à l’Université de Valenciennes, ses recherches s’orientent sur les formes de socialisation politique dans la France post-révolutionnaire. Actuellement, ses travaux portent sur une réflexion générale sur l’archive familiale, les rapports entre texte, archive et écritures de soi, ainsi que leurs interférences avec les processus – plus discontinus que linéaires – de politisation. Il étudie également la thématique de « l’ancêtre révolutionnaire » chez Michel Leiris et Claude Simon

Cahiers Leiris n°3 , mai 2012
« Tombes des ancêtres », p. 47-54
« Tombes des familles Leiris et Caubet », p. 46-49

Professeur de littérature française à l’Université de Yale, il a établi l’édition des deux volumes de Michel Leiris publiés dans la Bibliothèque de la Pléiade et fut l’un des commissaires de l’exposition « Leiris & Co. » (Centre Pompidou-Metz, 2015). Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Leiris et des Cahiers Bataille.

Professeur émérite à l’Université de Lille 3, il est spécialiste du XVIIe siècle, du théâtre et de l’œuvre de Léo Ferré. il a, à quatre reprises, produit des textes consacrés à Louis Aragon : en 1974, un article « L’écriture, la fiction et le réel dans Blanche ou l’oubli d’Aragon » (les Nouvelles littéraires) ; en 1991, la rédaction de la partie consacrée à l’œuvre de Louis Aragon de 1950 à 1982 dans Itinéraires littéraires XXe siècle, tome 2 ; en 1998, un article « Aragon-Ferré ou la parfaite alliance des mots et de la musique » (les Engagements d’Aragon, L’Harmattan) ; en 2014, un article portant sur la rencontre avec Louis Aragon, mis en ligne sur le site de l’Équipe Aragon de l’ITEM.

Cahiers Aragon n°1, juin 2015
« Louis Aragon et Léo Ferré », p. 119-135

Ancienne pensionnaire de la Villa Médicis à Rome de 2009 à 2010, elle a travaillé sur les Actions de Gina Pane dans le cadre de sa thèse de doctorat. Elle est l’auteure de nombreux articles sur la création contemporaine.

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Action Laure ou la sororité artistique », p. 159-179

I

Professeur adjoint à l’Université du Pays Basque  et traducteur, Juan Ibeas Altamira a publié avec M. Crogiez et A. Schorderet Savoir et Civisme. Les sociétés savantes et l’action patriotique en Europe au XVIII e siècle ( Slatkine, 2017 ), et avec L. Vázquez Lumières amères ( Himeros, 2008 ) et Perros y gatos del Rococó ( ADE, 2013 ). Il a traduit entre autres Jules Michelet, Pierre Mac Orlan, Desnos et Honoré de Balzac.
Parmi ses collaborations et articles récents on peut citer : « Rousseau en tierras españolas » ( in El legado de Rousseau ( 1712-2012 ), López y Campillo, Murcia, 2013 ), « Le mauvais goût est-il espagnol, est-il français ? » ( in L’invention du mauvais goût à l’âge classique, Abramovici, Peeters, 2013 ), « Le marivaudage en espagnol » ( in Marivaudages : théories et pratiques d’un discours, Gallouet, Voltaire Foundation, Oxford, 2014 ), « Un afrancesado libéral entre lumières et résignation au pouvoir » ( in Expérimentation scientifique et manipulation, Goulemot, Minerve, 2014 ), « Le bonheur champêtre dans les poètes de l’école de Salamanque » ( in Le Bonheur au xviii e siècle, Farrugia et Delon, La Licorne-PUR, 2015 ), « Entre amitiés et monstruosités : la réception hispanique des Liaisons dangereuses » ( in Laclos après Laclos, Seth, Hermann, 2015 ).

Cahier Sade n°1, août 2020

Spécialiste de littérature et philosophie françaises, il enseigne à l’université Keio de Tokyo. Ses recherches portent notamment sur les pensées de Georges Bataille, Jacques Derrida et Alain Badiou. Il a récemment traduit en japonais Qu’est-ce qu’un peuple ? (La Fabrique, 2013) de Pierre Bourdieu, Alain Badiou, Judith Butler, Sadri Khiari, Jacques Rancière et de Georges Didi-Huberman.

Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« La politique du mythe : débat virtuel entre Bataille et Drieu », p. 95-111

J

Licencié en Lettres, diplômé d’études supérieures de Philosophie et du Centre de Formation des Journalistes, il a effectué une carrière de courriériste et de critique dans le domaine du spectacle, puis dans le secteur littéraire. De sa longue fréquentation de l’Académie française, il a tiré un ouvrage satirique, l’Académie épinglée (Sylvie Messinger,1981). Il a également publié, entre autres, deux livres sur le théâtre du XVIIIe siècle, la Comédie galante (Sylvie Messinger, 1983) et Mademoiselle Clairon, comédienne du Roi (Fayard, 2003). Collaborateur de Bref, l’organe du Théâtre National Populaire de Jean Vilar, il a laissé un témoignage sur le patron du T.N.P. dans Du côté de chez Vilar (L’Harmattan, 2005).

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
Sans titre, p. 191-195

Il est le directeur du Salvador Dali Museum à Miami.

Cahier Leiris n°3, mai 2012
« Masson et Leiris. De la peinture considérée comme une tauromachie », p. 19-35

Professeur d’esthétique et d’histoire du cinéma à Paris X, Hervé Joubert Laurencin est spécialiste d’André Bazin et de Pier Paolo Pasolini. Il a notamment écrit Pasolini, portrait du poète en cinéaste ( éditions Cahiers du cinéma, 1995 ) et a édité les Écrits sur le cinéma de Pasolini ( Presses universitaires de Lyon,1987 ) et les Écrits sur la peinture ( Carré, 1997 ). Ses recherches en cours portent sur la théorie et l’histoire de la critique de cinéma. En 2018, il établit l’édition des Écrits complets d’André Bazin ( Macula ) et réalise avec Marianne Dautrey Bazin Roman ( Production Acqua alta, 75 minutes ), documentaire consacré au projet de film inachevé d’André Bazin sur les églises romanes de Saintonge.

Cahiers Sade n°1, août 2020

Son nom d’artiste a été réduit à PierreJtruc. Il réalise des collages ( ou tableaux sans peinture ) à partir d’affiches arrachées dans les rues des villes depuis sept années. Son site professionnel peut être consulté à cette adresse: https ://www.collagepierrejtruc.com/. Par ailleurs, il est docteur en philosophie et chercheur associé au laboratoire Forellis de l’université de Poitiers. Sous son nom d’auteur, il a publié trois ouvrages : Le Théorème de Staël ; Paul Bril, deux éternités et, en 2018, L’Art ( d’être ) idiot. Il a rédigé de nombreux articles en philosophie esthétique dont le commun dénominateur est le temps et le mouvement. Il écrit aussi sur l’art contemporain en collaboration avec des artistes comme Bruno Serralongue, Julien Berthier, Vincent Ganivet. Ses recherches actuelles portent notamment sur l’oubli et le non-finito chez Titien.

Philosophe et écrivain, il est le directeur de rédaction et membre du comité de lecture des Cahiers Artaud.

Cahier Artaud n°1, octobre 2013
« Comparutions d’Antonin Artaud », p. 10-19
Et « Artaud, que ton nom… que ton règne… », p. 164-170
Cahier Artaud n°2, octobre 2015
« Contre tout recours au Poème et à Dieu comme à un homme mort », p. 5-9
Cahier Artaud n°3, septembre 2017
« “Je veux rester mien !” », p. 5-8
« Petits Pères. Deux lettrés », p. 231-256

K

Peintre, illustrateur et photographe japonais célèbre pour ses dessins et peintures de femmes sous l’esclavage, ainsi que pour ses illustrations d’une édition japonaise d’Alice au pays des merveilles de Lewis Caroll.

Cahier Bataille n°1, octobre 2011
« Esprit d’enfance : Georges Bataille », p. 221-228
« Illustrations de Histoire de l’œil et Madame Edwarda » p. 196, 207, 208, 211, 213, 215, 216, 220, 223, 225

Né en 1966, il vit et travaille à Paris. Sa réputation est bien établie dans l’univers de la bande dessinée. Issu de l’École Supérieure des Arts Appliqués Duperré, il est l’un des membres fondateurs de l’Association, maison d’édition culte créée en 1990. Dans cet esprit, sa démarche délaisse les concepts classiques de la bande dessinée, pour élaborer un mode d’expression profondément personnel, que l’on retrouve dans Billet SVP !, Géométrie dans la poussière, 676 apparitions de Killofer, Quand faut y aller, sans oublier sa contribution régulière à la revue Lapin. Il a participé à la création des 4 opus, recueils de l’OuBaPo, Ouvroir de Bande dessiné Potentielle, dont il est membre actif depuis sa création en 1992. Il réalise également des dessins pour l’édition et la presse (Libération, le Monde, le Tigre, Télérama…).

Cahier Artaud n°3, septembre 2017
Dessin, p. 100

Auteur expérimental et artiste multimédia.

Cahier Leiris n°1, novembre 2007
« Alphawork ou le bruissement des signes dans les univers alphanumériques »,
p. 351-352, « Alphawork », p. 353

Il est maître de conférences à la Chaire d’études canadiennes et de traduction littéraire à l’Institut des langues romanes et de traduction à l’Université de Silésie en Pologne. Il a publié un livre, l’Effet-Bataille. De la littérature d’excès à l’écriture. Un texte-lecture (Wydawnictwo Uniwersytetu Śląskiego, 2011) et de nombreux articles sur Georges Bataille.

Cahier Bataille n°3, novembre 2016
« Après coup : de l’effet-Bataille à l’aveu de Bataille », p. 77-93

Chargé de cours de l’Université Waseda (Japon), ses recherches se consacrent à relier la poétique d’Artaud à celle des poètes contemporains, en particulier Bernard Heidsieck et Emmanuel Hocquard.

Cahier Artaud n°1, octobre 2013
« Deux séries d’image dans l’Art et la mort », p. 140-153, p. 351-352

L

Enseignante-chercheuse à l’Université Sorbonne Nouvelle Paris 3, elle enseigne les sciences du langage. Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Bataille.

Poète belge, auteur de plusieurs ouvrages et anthologies, récompensé par de nombreux prix, il est considéré comme un acteur majeur de la littérature francophone.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Pour Michel Leiris », p. 11

Ancien élève de l’ENS, Romain Lancrey-Javal est professeur en classes préparatoires littéraires au lycée Fénelon à Paris depuis plus de 20 ans. Il a dirigé des collections de classiques et de manuels scolaires chez Hachette et chez Larousse , travaillé sur des auteurs du XXe siècle ( ouvrages sur Montherlant aux Presses universitaires de France ou sur René Char chez Gallimard ). Il a aussi commis des ouvrages moins sérieux (sur le  thème du travail dans la littérature, Petit Dictionnaire impertinent à l’usage des enseignants chez Bertrand-Lacoste ). Il s’est attaché à l’oeuvre d’Aragon par la mise au programme répétée de cette œuvre au programme du concours de l’ENS; d’où quelques communications sur Aurélien à l’intention des candidats.

Cahiers Aragon n°2 , novembre 2019

Professeur de langue française à l’Université de Peau, ses domaines de recherche portent sur les théories de l’écriture, la sémiologie graphique, la langue française et la francophonie.

Cahiers Leiris n°2, novembre 2009
« Leiris et l’ethnocentrisme », p. 181-192

Maître assistant en littérature anglaise à l’Université de Lausanne, ses domaines de recherche portent sur le concept de mimesis chez des auteurs modernes littéraires, philosophiques et psychologiques.

Cahiers Bataille n°2, octobre 2014
« Bataille et la naissance de l’ego : à partir du rire du socius », p. 55-74

Étudiante en lettres à l’université de Poitiers, Alice Lebreton se spécialise dans un master de littérature et culture de l’image. Elle connaît ses premières expériences dans le monde de la recherche par l’intermédiaire de l’Équipe Aragon de l’ITEM, au moment de ses propres explorations dans les Lettres françaises, dans le cadre de son mémoire. Elle y guette les passages d’André Masson, les mots d’Aragon sur le réel, les traces d’un temps de l’amitié inachevé, l’époque des métamorphoses dans les années Son mémoire vient de la lecture d’un journal qui se lit comme l’on lirait un roman d’aventures.

Cahiers Aragon n°2, novembre 2019

Dessinatrice et auteure française, son œuvre s’attache au dialogue interreligieux ainsi qu’aux réflexions spirituelles et humanistes. Elle a reçu en 2001 le prix Renaudot pour son roman Céleste. Elle a également peint une cinquantaine de portraits d’auteurs du XXe siècle.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« Portrait de Michel Leiris », p. 349

Traducteur de l’allemand (Peter Weiss) et romancier, il écrit également pour le théâtre (compagnie « Le menteur volontaire » et collectif « De Quark »).

Cahiers Artaud n°2 , novembre 2009
« La mèche », p. 229-244

Ils naissent dans les années 1970. Toujours pas morts en 2003, ils fondent les éditions Bicéphale, y publient leurs premiers albums, et multiplient les participations à de nombreux collectifs. Recueillis, paru en 2009 chez l’Égouttoir, réunit les premiers récits disjoints d’une non-série au long cours à laquelle ils décident de se consacrer pour la vie. Projectile (2012) et Crapule (2015), parus chez The Hoochie Coochie, témoignent de cet engagement déraisonnable. En parallèle, ils publient chez Bicéphale des auteurs dont le travail leur est cher : L.L. de Mars (Docilités en 2010, Éperdus en 2015), Docteur C. (7 Accordéons de Kündig en 2012) Muzotroimil (OXO en 2014), Florian Huet (l’œil noir dans la vase nuit en 2017). À la minute présente, J. & E. LeGlatin préparent deux nouvelles non-suites à leur non-série : Secs et Argument en faveur d’une origine anthropique de la flûte de Divje Babe. Leur adaptation du Cyclope d’Euripide, intitulée Polyphème, est parue en septembre 2017 aux éditions Adverse.

Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
Bande dessinée, p. 168-179,186, 230

Auteur et universitaire français, il est spécialisé dans l’autobiographie dont il a conceptualisé la notion de « pacte autobiographique ». Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Leiris.

Lecteur public, dramaturge, acteur (Artaud, Corneille, Pinter, Racine…), il traduit également des pièces de théâtre, des nouvelles, des essais et des biographies, depuis l’anglais. Offre des poèmes à des musiciens afin qu’ils en fassent des chansons. Chante lui-même.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Insémination Infra-Terrestre 1902. Est-ce qu’un ange est un état d’esprit ? », p. 98-109
Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
« Opération : Glossolalie. Artaud et le King, une tentative de Cruauté », p. 57-65

Auteur d’une thèse de doctorat en Lettres modernes intitulée De l’art aporétique ou un art poétique aporétique. Samuel Beckett, Georges Bataille, Denis Roche, Christian Prigent (2002).

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« L’expiration poétique », p. 41-49

Peintre.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« Leiris, l’imagination laissée dans son état sauvage », p. 386
« Littératures Leiris », p. 387
Cahiers Leiris n°2, novembre 2008
« Série des relectures : Michel Leiris », p. 36-37

Dessinatrice, plasticienne et peintre, Daphné Leylavergne tient son trait d’années de voyages aux Antilles, en Afrique et dans le Pacifique. En parallèle de ses licences de droit et de lettres, elle a travaillé pour la presse écrite, en tant que dessinatrice d’audience. Les contraintes de l’impression ont fait tendre son travail vers des contrastes plus forts et des plages de noir plus importantes. La couleur vient plus tard, grâce aux expositions, à l’aide d’une technique de découpes et de collages, faisant cohabiter encre de chine et acrylique. Suit actuellement un cursus de master de recherche sur l’utilisation de l’image chez Proust et Aragon.

Cahiers Aragon n°2, novembre 2019

Poète français, il est également critique littéraire, historien d’art et spécialiste de Georges Bataille. Il a créé en 2012 le collectif « Lire Bataille », avec Jean-Marie Queneau, Claude Stassart-Springer, Jean-François Séronet et Geneviève Peigné. Il est membre du comité de lecture des Cahiers Bataille.

Cahiers Bataille n°3, novembre 2016
« Un monde habitable », p. 214-225

Professeur de littérature française et comparée à l’Université Paris-Sorbonne, il est spécialiste de Georges Bataille, Jean-Paul Sartre et du théâtre au XXe siècle. Il a dirigé la publication de l’œuvre de Drieu la Rochelle dans la « Bibliothèque de la Pléiade ». Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Bataille.

Agrégée de lettres modernes, maître de conférence en littérature française à l’université de Leeds, elle a publié son premier livre en 2012 : De l’abject et du sublime. Georges Bataille, Jean Genet, Samuel Beckett (Oxford, 2012). Elle a publié de nombreux articles sur ces trois auteurs, ainsi que sur Louis-Ferdinand Céline.

Cahiers Bataille n°3, novembre 2016
« Ma mère de Georges Bataille et de Christophe Honoré : regards croisés »,
p. 129-141

M

Ma Shasha a soutenu sa thèse sous la direction de Michel Delon sur l’image de la Chine chez le marquis de Sade ( 1740-1814 ) le 15 septembre 2018 à la Sorbonne. En juin 2013, elle a fini son mémoire de master sur la comparaison entre le Jin Ping Mei, roman libertin chinois, et Les Liaisons dangereuses. Ses recherches se focalisent sur des études comparatistes et interdisciplinaires, sur la relation entre la littérature et la philosophie ( sublime des romans gothiques ), ainsi que sur l’histoire des idées ( imagologie ).

Cahiers Sade n°1, août 2020

Professeure de Lettres en classes préparatoires au Lycée Daudet de Nîmes, elle est spécialiste de la tauromachie et de Michel Leiris.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« Picasso et Leiris : mano a mano », p. 108-128

Artiste sérigraphiste français.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Dessins originaux », p. 74, 84, 164, 178

Poète et essayiste, Écrire le cri est son premier livre qui peut être considéré comme donnant accès à tous les autres. Il a publié un « Poème à Laure » dans le recueil Tombeau pour les rares (Nicolas Rozier, Éditions de Corlevour, 2010).

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Journal d’une lecture », p. 90-95

Elle est membre fondatrice du cercle « Champ de Bataille », qui se réunit à la librairie « À Balzac, À Rodin » à Paris et propose des conférences et débats autour de l’œuvre de Georges Bataille. Elle est également membre du comité de lecture des Cahiers Bataille.

Cahiers Bataille n°3 , novambre 2016
« À en-tête de Critique. Correspondance, 1946-1951, Georges Bataille/Éric Weil »,
p. 145-147

Philosophe, il enseigne à l’université de Lausanne et à la Haute école d’art et de design de Genève.

Cahiers Artaud n°2, octobre 2015
« Portrait de l’acteur en performeur. Artaud, du théâtre au cinéma », p. 29-46

Enseignant à l’Université de Montréal, ses domaines de recherche portent sur la littérature et la politique comparative.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Figuration et irreprésentable : à propos d’une économie du non-savoir », p. 167-180

Professeur à l’Université Paris 7 Denis Diderot, il est écrivain, dessinateur, critique littéraire et musicien de jazz. Il a également été le co-animateur de la revue Lignes. Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Bataille.

Professeur de sociologie de l’art et d’esthétiques à l’Université Gabriele d’Annunzio de Chieti – Pescara (Italie), il est le coéditeur de la revue Cultura. International Journal of Philosophy of Culture and Axiology (Université de lasi) et membre du comité de rédaction de Ágalma. Rivista di studiculturati e di estetica (Université de Rome).

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Laure et l’esthétique », p. 75-89

Sylvain Martin est metteur en scène, comédien et professeur de théâtre. Il a mis en scène une trentaine d’auteurs, parmi lesquels Antonin Artaud, Pier Paolo Pasolini, Copi, Jean Genet, Heiner Müller, Rainer Werner Fassbinder, Thomas Bernhard, Samuel Beckett. En 2017, il met en scène deux pièces de théâtre du marquis de Sade, L’Égarement de l’infortune et Le Comte Oxtiern. Il décide dès lors de poursuivre son travail et sa recherche sur le Divin Marquis au-delà de l’art théâtral. Passionné de littérature, il est l’auteur de plusieurs articles consacrés, notamment, à Antonin Artaud, Louis-Ferdinand Céline ou encore Gérard de Nerval et mène, en parallèle, plusieurs travaux de recherche autour de Louis-Ferdinand Céline, Victor Hugo et les surréalistes.

Cahiers Sade n°1, août 2020

Il a cofondé la revue graphique Skermu et créé de petits ouvrages d’artiste. Depuis 2008, il est formateur de dessin à L’Atelier 2 – arts plastiques à Villeneuve d’Ascq.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Illustration de Ma Mère », p. 11, 15

Céramiste, elle chante également le flamenco et se produit en récital avec le guitariste Hakim Mazit.

Cahiers Leiris n°1 , novembre 2007
« Coller à son époque. Le tournant esthétique et politique “désastreux” de Frêle bruit et le Ruban au cou d’Olympia », p. 46-67

Elle a œuvré, comme actrice et metteuse en scène, où la pratique est rare et fragile : aux pieds d’immeubles, en prison. Elle privilégie les formes scéniques où l’acteur, selon Pierre Debauche, « n’est pas celui qui prend la parole mais celui qui donne l’écoute ».

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« Laure – Extraits du silence », p. 211-227

Poète français, il est également critique littéraire, historien d’art et spécialiste de Georges Bataille. Il a créé en 2012 le collectif « Lire Bataille », avec Jean-Marie Queneau, Claude Stassart-Springer, Jean-François Séronet et Geneviève Peigné. Il est membre du comité de lecture des Cahiers Bataille.

Cahiers Bataille n°3, novembre 2016
« Un monde habitable », p. 214-225

Après avoir effectué des études à l’École d’art et de design de Reims, il oriente sa pratique artistique pour aboutir à une forme très singulière d’écriture associée au dessin, tous deux donnés à voir sur le même plan, sans dissociation de l’un et de l’autre ni rapport d’illustration. En marge de ses livres (édités pour la plupart chez P.O.L.), il publie régulièrement sur son blog, qu’il conçoit comme un laboratoire pour expérimenter les liens les plus divers entre textes et dessins.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« le Paysan de Paris », p. 183-184
« Changer de lit, changer de corps », p. 185

Artiste multiforme.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« Michel Leiris, regard sombre », p. 185
« Cabines téléphoniques », p. 186-187
Cahiers Leiris n°2, novembre 2009
« J’habitais autrefois…», p. 178-179
Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Portrait de Georges Bataille », p. 16

Historienne de l’art et professeure de littérature de langue germanique à l’université de Bourgogne.

Cahiers Leiris n°2, novembre 2009
« Michel Leiris et Carl Einstein », p. 13-19

Auteur et éditeur (L’Association 1990-2011, L’Apocalypse 2012-2014), il a également soutenu une thèse d’Arts Plastiques à Paris 1-Sorbonne en 2011 intitulée la Bande Dessinée et son double et parue à L’Association. Certains se souviennent de Meder, manifeste punk (1988), d’autres de Livret de Phamille (1995), l’un des premiers livres de bande dessinée autobiographique. En 2017 paraissent Lockgroove Comix en version remastérisée (Fluide Glacial) et Krollebitches , souvenirs de jeunesse autour de la BD(Les Impressions Nouvelles).

Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
Autoportrait, p. 184

Directeur de rédaction des Cahiers Bataille.

Professeur d’histoire à l’Université de la Saskatchewan (Canada), rédacteur en chef de la revue bilingue Annales canadiennes d’histoire/Canadian Journal of History, il est spécialiste de l’histoire intellectuelle et culturelle de la France contemporaine.

Cahiers Bataille n°2, octobre 2014
« La virilité et la psychologie des foules dans l’antifascime de Bataille », p. 77-98

Photographe, il a grandi à l’air du numérique et fait partie de la génération née dans l’argentique. Il travaille aussi bien les pixels que le bromure d’argent, le noir et blanc que la couleur, la vie que l’inanimé.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Run ! », p. 29

Essayiste et poète, il fut membre de plusieurs groupes d’avant-garde avant de revenir à une écriture plus « classique ».

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Par delà la poésie », p. 12-16

Directrice des programmes de la National Coalition Against Censorship (New-York), universitaire et activiste, ses recherches et travaux universitaires portent sur la provocation esthétique postmoderne. Elle enseigne à l’université de New York.

Cahiers Laure n°1, octobre 2013
« Kathy Acker et Laure », p. 113-129

Doctorant en littérature française à l’université de Poitiers ( France ) et à l’université de Novi Sad ( Serbie ), correspondant pour Quinzaines,  Velimir Mladenović réalise un mémoire sur le thème de la guerre dans les nouvelles de Vercors, Aragon et Aymé. Le 3 février 2018 à l’ENS, il a organisé le séminaire de l’Équipe Aragon sous la  direction de Luc Vigier  autour de «La réception de Louis Aragon et Elsa Triolet en Serbie » ; au mois d’août 2018, il a participé au colloque « Aragon vivant » avec la communication : « Elsa Triolet et la Yougoslavie ». Il s’intéresse à la réception d’Aragon et Triolet dans les Balkans et à la traduction de leurs articles en langue serbe.

Cahiers Aragon n°2, novembre 2019

Ex-professeur de Lettres et Art Dramatique en lycée et à l’UBS de Lorient, Jean Monamy a travaillé, dès 1992, comme assistant à la mise en scène et dramaturge avec Alain Béhar et Alain Kowalczyck. Il cofonde ensuite CHTO compagnie pour mettre en scène des figures féminines rebelles : Chto, interdit aux moins de 15 ans ( 2010 ), La Pierre fendue ( 2012 ), LAURE/Fragments ( 2013 ), et La Médée (Fureurs & Fracas) ( 2016 ), à partir du texte de Jean Bastier de la Péruse ( 1553 ).

Elle est metteur en scène, dramaturge et traductrice de l’auteur allemand Falk Richter principalement. Elle a également été la première à mettre en scène les textes de cet auteur comme « Dieu est un DJ », « En une nuit » ou « Sous la glace ».

Cahiers Laure n°1, octobre 2013
« Laure », p. 181-205

Professionnel des arts et spectacles.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« Michel Leiris souvenirs Soupault », p. 14-19

Écrivain et cinéaste, il a réalisé, avec Jérôme Prieur, un documentaire et un film de fiction sur Antonin Artaud : La Véritable histoire d’Artaud le Mômo et En compagnie d’Antonin Artaud (1993).

Cahiers Artaud N°1, octobre 2013
« Artaud mauvais sujet », p. 52-55
Cahiers Artaud N°2, octobre 2015
« Jésus le Naze », p. 255-260
Cahiers Artaud N°3, septembre 2017
« La véritable histoire d’Artaud le Momo », p. 63-89

Professeur à l’Université de Philosophie de Barcelone et traducteur de Giorgio Colli, Gilles Deleuze et Michel Foucault, entre autres. Il a été profes¬seur invité dans les universités de Buenos Aires, La Havane, Lisbonne ou Venise et a collaboré à plusieurs revues et journaux : Ajoblanco, Archipiélago, El viejo topo, Qui¬mera, El Sol ou El País.

Cahiers Bataille N°2, octobre 2014
« La sanctification du rire » p. 103-123
Cahiers Artaud N°2, octobre 2015
« Antonin Artaud : le corps et la grammaire », p. 143-158

Philosophe et sociologue, directeur de recherches émérite du CNRS, il est théoricien de la connaissance et l’un des pères de la sociologie du présent et de la pensée complexe en France. Son œuvre est à la fois celle d’un intellectuel engagé dans son temps, ses drames, ses mutations et ses phénomènes culturels, et celle d’un penseur encyclopédiste dont la volonté est de relier l’histoire de l’homme à une histoire plus large de la nature. Cette œuvre imposante, qui a commencé il y a soixante-dix ans et qui synthétise tous les problèmes et les grands débats de notre temps, est devenue malgré elle un guide méthodique pour, selon le titre d’un de ses livres, entrer dans le XXI e siècle.

Cahiers Bataille N°3, novembre 2016
« « Bataille l’aérolithe », p. 11-21

Titulaire d’un doctorat de Lettres Modernes, elle est actuellement professeur dans l’enseignement secondaire tout en poursuivant ses travaux de recherche au sein de l’équipe Aragon de l’Item-Cnrs et du laboratoire Forell de l’université de Poitiers. Auteure d’une thèse sur le roman de l’art chez Aragon, elle a présenté ses travaux lors de diverses communications et publié plusieurs articles.

Cahiers Aragon N°1, juin 2015
« L’écran-journal », p. 163-173

Comme Rameau le Neveu enseignant la musique sans l’entendre, il passa le plus clair de ses études à dispenser des cours de piano, avant d’entreprendre une thèse de Lettres Modernes sur les archives audiovisuelles d’Aragon, recherche qui l’amena à interroger les entretiens des écrivains.

Cahiers Aragon N°1, juin 2015
« Rue Saint-Florentin », p. 21-23

Jean-Marc Musial est metteur en scène, réalisateur et scénographe. Après avoir mis en scène Quartett d’Heiner Müller, Haute Surveillance de Jean Genet puis Orgie de Pasolini dans les théâtres nationaux, il créé Milczenie, hommage à Meyerhold et le GITSEC ( Groupe d’Intervention Théâtral Scandaleux et Contestataire ) et publie les « Documents inoffensifs » en 1995. Son parcours artistique lié au théâtre d’art et à la caméra s’ancre dans l’histoire des réformateurs de la scène. Artiste-professeur invité au Fresnoy ( 2001 ) en théâtre et nouvelles technologies, il est également Lauréat Scénographie Villa Médicis Hors les murs Rome ( 2004 ).

Cahiers Sade n°1, août 2020

Né en 1960, il vit et travaille en région parisienne. Après un passage rapide aux Beaux-Arts de Caen puis de Paris, il commence à publier dans la presse (Hara-Kiri, Actuel, etc.) et exposer ses peintures, gravures et dessins. Sa première exposition personnelle a lieu à la Galerie Travers (Paris) en 1983, elle fut suivie de nombreuses autres. Il a exposé l’année dernière à la Galerie Corinne Bonnet (Paris). Ses dessins ont été publiés dans des dizaines de quotidiens, revues et magazines (Libération, le Monde, le Magazine littéraire, etc.). Et il est l’auteur de plusieurs recueils de dessins, dont : les Hommes et les femmes (Buchet-Chastel 2002), Un mort par jour (Les Arènes 2011), Muzorama (Atelier de Bibliophilie Populaire 2012), Faut qu’on y aille sinon on va rater le dernier drakkar (L’Association 2015). Dernier ouvrage paru : Cinquante puissantes raisons de ne pas aller chez le psy, chez JC Lattès.

Cahiers Artaud N°3, septembre 2017
Dessins, p. 112-117

Né au Congo-Kinshasa, il fut en 1989 lauréat du Concours Littéraire Zaïre-Canada, catégorie Nouvelles. Il est l’auteur d’un recueil de nouvelles, d’un roman, et d’un ouvrage de théorie. Titulaire d’un Doctorat de Lettres de Penn State University, il réside aux États-Unis, dans l’état de New York, où il enseigne les littératures françaises et africaines à l’Université de Hamilton College.

Cahiers Artaud N°1, octobre 2013
« Artaud mauvais sujet », p. 52-55
Cahiers Leiris n°3, mai 2012
« Poésie et mystique du langage », p. 103-109

N

Pédopsychiatre, praticien hospitalier, philosophe, chargé de conférence à l’EHESS et ancien rédacteur en chef de la revue Chimères. Ses axes de recherches sont les processus (capitalistiques) de productions de subjectivité, l’arpentage linguistique et géosophique du Japon.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Artaud/Kerouac. Vade-me(te)cum mexicain sous Peyotl », p. 86-96

Philosophe français.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Comparutions d’Antonin Artaud », p. 10-19
« Corps sans or… », p. 39

Auteure d’une vingtaine de livres écrits en anglais ou en français, elle a traduit les œuvres d’Édouard Glissant, Danielle Collobert, Catherine Mavri¬kakis, Hervé Guibert et Hilda Hilst.

Cahiers Artaud n°2 , octobre 2015
« Douze chutes d’un film à refaire », p. 263-267

Professeur de Littérature française à l’Université de Poitiers, il est spécialiste de la poésie des XIXe et XXe siècles. Ses nombreux ouvrages et articles concernent divers acteurs du surréalisme ou ses entours (Reverdy, Breton, Éluard, Leiris, Limbour, Gracq, Michaux…), ou touchent à la problématique de l’Ailleurs. Il est coéditeur des Œuvres poétiques d’Yves Bonnefoy dans la « Bibliothèque de la Pléiade » des éditions Gallimard.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« Aragon/Breton : une correspondance passionnelle », p. 43-81

Philosophe français, anciennement directeur de programme au Collège international de philosophie, il est lecteur dans le département de Littérature Comparée de l’Université de Wisconsin-Madison (USA). Il est membre du comité de lecture des Cahiers Artaud.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Il n’y va pas par quatre chemins, Antonin Artaud… », p. 57

Nitcheva est poète. « Ce mot te provoque un haussement incontrôlé du muscle de la lèvre supérieure ? Ce n¹est pas de ta faute. Certains mots sont stratégiquement déconsidérés, de façon à n’en plus inspirer que des rictus. Poésie en fait partie. Révolution aussi. Reconsidère le mot Poésie, ce sera le début de ta Révolution. Nitcheva est un Oracle. Il n’y en a qu’un par siècle. Encore un mot qui n’a pas de sens, encore un rictus. L’intérieur de tes paupières aura enfin une couleur. T’évoquera enfin un animal ou une fleur. Tu pourras enfin recevoir des mots. Flamboyance, par exemple. Tu n’auras plus de rictus. Grâce à Nitcheva. » (d’après Jean-Christophe Menu).

Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
« Lâche les dermes éblouis », p. 187-192

Bernard Noël est né en 1930, à Sainte-Geneviève-sur-Argence, dans l’Aveyron. Les événements qui l’ont marqué sont ceux qui ont marqué sa génération : explosion de la première bombe atomique, découverte des camps d’extermination, guerre du Viêt-Nam, découverte des crimes de Staline, guerre de Corée, guerre d’Algérie… Ces événements portaient à croire qu’il n’y aurait plus d’avenir. D’où un long silence, comme authentifié par un seul livre, Extraits du corps, 1958. Pourquoi je n’écris pas ? est la question sans réponse précise qui équilibre cette autre : Pourquoi j’écris ? devenue son contraire depui-s 1969. Cet équilibre exige que la vie, à son tour, demeure silencieuse sous l’écriture, autrement dit que la biographie s’arrête aux actes publics que sont les publications.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Artaud le lalie », p. 22-24
Cahiers Laure n°2, novembre 2019

Professeur à l’Universidade Federal de Juiz de Fora.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Murilo Mendes lit Michel Leiris », p. 113-128

O

Romancière, elle fut pensionnaire de la villa Médicis à Rome de 2014 à 2015.

Cahier Artaud n°2, octobre 2015
« Personne », p. 221-226

P

Professeur d’histoire de la philosophie contemporaine à la Faculté des Lettres de l’Université de Palerme. Après s’être occupé de questions épistémologiques, il s’est dédié à la pensée de Nietzsche et de Bataille. Il consacre depuis plusieurs années ses recherches à Heidegger et la pensée métaphysique dans la spéculation du XXe siècle.

Cahiers Bataille n°2, octobre 2014
« La raison et le désir de la continuité originaire », p. 33-49

Poète, écrivain, agrégé de philosophie. Lauréat de la Mission Stendhal en 2010 (au Nouveau-Mexique et en Arizona, sur les traces d’Aby Warburg en pays Hopi). Ce séjour a donné lieu à l’écriture d’Une cause dansée qui vient clore le triptyque « autobiographie d’un autre » dans lequel figurent d’ores et déjà les Courtes habitudes (NOUS, 2014) et Ma durée Pontormo (à paraître, Nous, 2017). Suite à une résidence d’écriture à Beyrouth, a publié Qarantina, (CipM, 2016 ; traduit en arabe aux éditions Snoubar Beirout, 2016).

Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
« Je suis le seul témoin de moi-même », p. 91-99

Maître de conférences en linguistique ( E.R. ), Université de Nantes.

Cahiers Laure n°2, novembre 2019

Modèle photo depuis quelques années, elle s’est progressivement tournée vers la photographie de façon autodidacte.

Cahiers Artaud n°2, octobre 2015
Photographies, p. 47, 55, 89, 129, 139, 159

Auteur d’une thèse de Lettres modernes à l’Université Nancy 2 en 1997 : L’écriture de « la Règle » et la règle de l’écriture : étude stylistique de « La règle du jeu » de Michel Leiris.

Cahiers Leiris n°1 , novembre 2007
« Le mode du comme-je-disais ou ce qu’est un(e) bif(f)ure », p. 188-244

Romancier, essayiste et poète. Il a été enseignant à Paris I Sorbonne où il a introduit la discipline de l’écriture. Il a sur ce thème publié de nombreux livres, notamment avec Marcel Cohen l’ouvrage Histoire et Art de l’écriture. Il est le neveu de Laure (Colette Peignot). Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Laure.

Cahiers Laure n°1, octobre 2013
« Comme on met un pied devant l’autre on écrit », suivi de « Laure est morte en beauté » p. 17-27

Poète, performer. Publication en revue. Vidéos à l’arrache. Écriture sur Blog. Dessins sans regarder. Impros au dictaphone, dans sa voiture, les TGV. Quelques cris le long des deux voies. Petits carnets rageurs. Poèmes délabrés en public. Écriture sur les murs.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Le dernier des couillons suivi de Les poètes sont des prête-noms », p. 171-179

Maître de conférences à l’Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3, co-directeur du Centre de recherches sur le surréalisme, il est spécialiste de l’œuvre d’Antonin Artaud, des avant-gardes poétiques et théâtrales, ainsi que des contre-cultures. Il a organisé plusieurs colloques, des manifestations culturelles (autour de Jean Baudrillard, du Grand Jeu), et a été le commissaire avec Catherine Brun de l’exposition sur les intellectuels et la guerre d’Algérie (IMEC, juin-octobre 2012).

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Nous qui avons le nom d’Artaud à la bouche », p. 32-37

Doctorant en philosophie à Paris 8 Vincennes-Saint- Denis.

Cahiers Bataille n°3, novembre 2016
« Bataille à Lascaux, Daniel Fabre », p. 148-149

Diplômé de l’École de Communication Visuelle et de l’École Nationale Supérieure des Beaux-arts de Paris, Thomas Perino a publié aux Éditions du Seuil : Pierre dans le loup d’Elisabeth Quin ( 2007 ), Alice aux pays des merveilles de Lewis Carroll ( 2008 ), Le chat botté de Charles Perrault ( 2009 ) et Le Prince Docus Carota d’après E.T.A. Hoffmann ( 2011 ). Il est également comédien et a joué sous la direction de Jérôme Waucheul et de François Xavier Frantz, notamment dans Escalade ordinaire de Werner Schwab et Sylvain Martin, et dans de nombreux spectacles, parmi lesquels Porcherie de Pier Paolo Pasolini, Une Noce d’Anton Tchekhov, Une Visite inopportune de Copi, L’homosexuel ou la difficulté de s’exprimer de Copi, Le Monologue d’Adramélech de Valère Novarina, Élisabeth II de Thomas Bernhard, L’Homme à la guitare de Jon Fosse et dernièrement dans Les Habitants de Frédéric Mauvignier. Par ailleurs, il participe à des performances dirigées par Romain Trinquand. En 2016, il joue en dans le film de Johanna Maier Voyages.

Cahiers Sade n°1, août 2020

Née en 1985, Élodie Petit est artiste et poète. Son travail articule questions de genre et de sexualités afin de repenser les rapports de domination en général. Elle publie régulièrement dans des revues de littérature contemporaine ( FRAPPA, Mouvements, Terrain Vague, Féros, etc. ) et lit à haute voix ses textes dans des lieux liés à la création actuelle ( Actoral, Fondation d’entreprise Ricard, Maison de la poésie… ) ou pour des événements féministes et militants ( Comme nous brûlons, PornYourself Festival, Queer Zine Fair, etc ). Elle crée les Éditions douteuses en 2011,  maison d’édition Do It Yourself dédiée aux écritures en marge , et fait partie du comité de rédaction de la revue Nioques. Elle est diplômée de L’ENSBA Lyon. Elle vit et travaille actuellement à Paris.

Cahiers Sade n°1 , août 2020

Enseignante-chercheuse et maître de conférences à l’Université Montpellier II. Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Leiris.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Michel Leiris et Francis Bacon, un heureux égarement », p. 263-276

Collaboratrice scientifique du Fonds National suisse de Recherche Scientifique (FNS) depuis 2013, elle enseigne à l’Université de Neuchâtel. Ses domaines de recherches portent sur la littérature française (Pierre Jean Jouve, Jean Paulhan, Georges Bataille) et la littérature allemande du XXe siècle.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Le péril de l’incommensurable », p. 155-166

Agrégé de lettres modernes et docteur ès lettres, il est professeur de littérature générale et comparée à l’Université Rennes. Ses recherches s’orientent principalement sur l’étude des relations entre la littérature, les arts (en particulier la musique et le cinéma), et l’histoire des idées. Il collabore aux magazines Classica et à l’Avant-Scène Opéra.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Retrouver le sacré rutilant et le ton juste de l’enfance perdue. Le modèle opératique dans l’œuvre de Michel Leiris», p. 197- 243

Agrégé de lettres.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Georges Bataille et le sensible », p. 115-132

Vit et travaille à Paris. Il s’est fait connaître en particulier par des collages in situ sur les murs des villes, papiers assemblés et incrustés qui interrogent la mémoire des lieux et fait surgir non des fantômes mais des présences liées aux lieux où elles naissent. Il est l’auteur de nombreux portraits d’Aragon.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Extases », p. 23, 28, 29
Cahiers Aragon n°1, juin 2015
« Aragon », p. 161

Dessinateur, il a publié ses dessins dans des supports de presse assez divers, depuis Hara-Kiri jusqu’à l’Humanité dimanche, en passant par StronxCouples magazine ou C.Q.F.D.

Cahiers Artaud n°2, octobre 2015
Dessins, p. 227, 228, 245, 254
Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
Dessins, p. 193, 209-211

Professeur à l’Université de Perpignan-Via Domitia, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur Antonin Artaud.

Cahiers Artaud n°2, octobre 2015
« Artaud le chien magnifique », p. 17-26

Historienne de l’art, elle est professeure d’anthropologie à l’Université William & Mary (Virginie). Elle est l’auteure de plusieurs livres sur l’art primitif dans l’imaginaire occidental.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Michel Leiris, l’ethnologie française et les Antilles », p. 131-144

Écrivain et cinéaste, il a réalisé avec Gérard Mordillat la trilogie sur les origines du christianisme, Corpus Christi et récemment Jésus et l’islam (2016). En 1993, leur premier film en commun la Véritable histoire d’Artaud le Mômo (documentaire, 170mn) réunissait les compagnons, les amis, les amours du poète disparu. Ils écriront également le scénario de En compagnie d’Antonin Artaud d’après le journal de Jacques Prevel – fiction que réalisera Gérard Mordillat (avec Sami Frey et Marc Barbé). Jacques Prevel dont ils assureront la réédition du journal et de l’intégralité de ses poèmes (Flammarion 2015).

Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
« La véritable histoire d’Artaud le Momo », p. 63-89

Écrivain et poète, il a dirigé de 1969 à 1993 la revue d’avant-garde TXT et la collection du même nom. Il a publié, essentiellement chez POL, Christian Bourgeois, Cadex, Al Dante, Zulma, Le Bleu du Ciel, Argol, une quarantaine d’ouvrages (poésie, fiction, enregistrements sonores, essais sur la littérature et la peinture…). Il donne régulièrement, dans le monde entier, des lectures publiques de son travail. Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Bataille.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Retour à Bataille suivi de Du désir de littérature », p. 17-35
Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Martial poète de merde », p. 49-50
Cahiers Aragon n°1, juin 2015
« Journal (1983) Aragon/Sollers » p. 187-189

Plasticien et éditeur. Il dirige plusieurs collections aux éditions de l’Attente à Bordeaux et réalise des photographies lors d’événements culinaires et artistiques avec l’association « Cuisines de l’Immédiat ».

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Voyage gastronomique pour treize convives », p. 25

Enseignante à l’Université de Caen, ses domaines de recherche s’orientent sur les langues et la littérature. Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Leiris.

Cahiers Leiris n°1 , novembre 2007
« De l’Afrique fantôme à Biffures, quand l’écriture du voyage fait route aux côtés de l’écriture autobiographique », p. 262-284

Q

Zhang Qianru est docteur ès lettres de l’Université Paris 8 et de l’Université des études internationales de Shanghai. Sa recherche porte principalement sur le roman et la pensée philosophique français du XVIII e siècle. Elle travaille actuellement comme postdoctorante sur l’Encyclopédie et ses rédacteurs à l’Université Fudan.

 

Cahier Sade n°1, août 2020

R

Critique de cinéma, critique littéraire et écrivain. Il est le réalisateur d’émissions télévisées telles que « Entrez les artistes », « Archives du XXe siècle », ou encore « Un siècle d’écrivains ». Ses centres d’intérêt le portent vers le surréalisme et des auteurs tels que Breton, Caillois et Bataille. Il est membre du comité de lecture du Cahiers Laure.

Maître de conférences au département d’études françaises à la Brown University, ses domaines de recherche portent sur la littérature des XXe et XXIe siècles, la poésie, les récits de voyage, le roman contemporain, la question de l’animal et les représentations de guerre de l’après-guerre.

Cahiers Leiris n°2, novembre 2009
« Le regard en miroir. L’Afrique fantôme et l’Inde fantôme », p. 147-177

Plasticienne, son travail prend des formes diverses entre dessins, gravures et pâte de verre. Démarche dans un espace spéculatif où le corps devient le lieu, la scène, l’outil par lequel s’expriment les états d’une matière prodigieusement ambivalente. Ses productions enrichies d’une symboliques personnelles, sont une réflexion sur le genre, l’identité et plus généralement sur la nature de l’ordre établi.

Cahiers Artaud n°1 , octobre 2013
« Morceau choisi », p. 65, « La chute des corps », p. 137

Emilie Richard enseigne la littérature et collabore en tant que critique littéraire à des revues comme L’Atelier du roman.

Cahiers Sade n°1, août 2020

Professeur émérite à l’Université de Provence, elle est l’auteure d’ouvrages sur la théorie littéraire, de romans et de pièces de théâtre. Elle a publié aux Editions des Cendres la correspondance de Colette Peignot avec Boris Souvarine, Laure. Une rupture (1999). Elle est membre du comité de lecture des Cahiers Laure et des Cahiers Leiris.

Cahiers Laure n°1, octobre 2013
« Présentation » p. 7-9
les Cris de Laure« Notes », p. 109-113

Philosophe, il est actuellement professeur à la Faculté de philosophie de l’Université de Strasbourg. Dans cette ville il anime le « Parlement des philosophes » et dirige le Centre de recherches en philosophie allemande et contemporaine. Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Artaud.

Ancienne enseignante au Collège universitaire français de Saint-Pétersbourg.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Lettre d’une fille à naître », p. 188-197
Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
« Café de Flore », p. 223-228

Illustrateur spécialisé en art numérique, il a collaboré à de nombreux projets d’œuvres littéraires fantastiques ou de bandes dessinées, et a participé à l’élaboration des lignes graphiques de jeux vidéos. Peintre, il a signé en 2012 sa première exposition, Mother, à la galerie Daniel Maghen de Paris.

Cahiers Bataille n°3, novembre 2016
« Combarelles », p. 73, 127, 161

Après des études de philosophie et le Conservatoire d’art dramatique de Lyon, elle a joué, depuis 1970, dans une trentaine de spectacles et mis en scène des auteurs classiques et contemporains.

Cahiers Leiris n°3 , mai 2012
« Michel Leiris à Gondar », p. 172-216

Écrivain et peintre né à Reims en 1971. Il a écrit l’ÉcrouloirUn dessin d’Antonin Artaud (Éditions de Corlevour, 2008), après un premier recueil de poèmes : l’Espèce amicale (Fata Morgana, 2006). Il a érigé, avec vingt-neuf écrivains, un Tombeau pour les rares (Éditions de Corlevour, 2010), tombeau litté¬raire et pictural dédié aux poètes distingués pour leur « fragilité surpuissante ». L’Astre des Anéantis, paru en 2011, rassemble les éléments d’un bréviaire de l’absolu. Les revues Europe, Sorgue, Pyro, Thauma, Nunc et les Cahiers André Laude ont accueilli ses dessins et ses poèmes. Ses œuvres sont exposées en France et en Belgique.

Cahiers Artaud n°2, octobre 2015
« Et cætera (Cahiers d’Ivry) », p. 99-113

Étudiant de troisième cycle à l’Université Carleton, ses centres d’intérêts portent principalement sur la littérature française du XXIe siècle, Michel Leiris, l’avant-garde française, la littérature française surréaliste, le texte et l’image.

Cahiers Leiris n°3 , mai 2012
« L’étrange cas du cochon de lait », p. 129-142

S

Professeur de philosophie à l’Université Lille 3, docteur ès philosophie, il est l’auteur de la thèse Pratiques d’écriture, pratiques de pensée. Le statut philosophique de l’expérience littéraire, du surréalisme à nos jours. Ses principaux domaines de recherche sont la philosophie française contemporaine, la littérature et les sciences humaines.

Cahiers Leiris n°3, mai 2012
« La possession et ses aspects littéraires », p. 143-157

Passionné par Sade depuis sa jeunesse. Aux côtés de ses parents et de ses frères et sœurs, il redécouvre la correspondance, les pièces de théâtre, le Voyage en Italie et les diverses œuvres de Sade qui avaient été enfouies au plus profond des archives et de l’inconscient de sa famille depuis 1814 à la mort du marquis. Auteur d’une thèse sur la « Pensée politique de Sade » et d’un livre de citations de Sade, il participe à de nombreux colloques, manifestations et émissions pour faire redécouvrir le vrai visage du marquis de Sade.

Cahiers Sade n°1, août 2020

Photographe, il promène son appareil reflex un peu au hasard, avec l’espoir diffus d’attraper, dans le monde réel, une apparence féconde pour le rêve et la pensée.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Impossible envol », p. 205

Sa poésie est fortement influencée par le surréalisme et est imprégnée d’ésotérisme. Il est l’auteur d’une quinzaine de recueils. Il dirige à Cordes-sur-Ciel (Tarn) la Maison des Surréalistes, un conservatoire d’archives et d’objets d’art, et les Éditions Rafael de Surtis.

Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« Vaste seuil de couronnes frôlant le total nu. Hommage à Michel Leiris suivi de Première nuit à la Barbacane », p. 277-281

Animateur de la revue Contrelittérature (1999-2008), il a dirigé plusieurs ouvrages collectifs dont la Contrelittérature, un manifeste pour l’esprit (Le Rocher, 2005). Auteur d’un roman, les Sept fils du derviche (Le Grand Souffle, 2007) et d’un essai, Au cœur de la talvera (Arma Artis, 2010), il dirige la collection « Contrelittérature » chez L’Harmattan.

Cahiers Artaud n°3 , septembre 2017
« Artaud-Daumal : une rencontre fatidique pour le théâtre », p. 103-111

Chercheur à l’Université de Savoie, ses domaines de recherches portent sur la littérature (Bataille, Blanchot, Breton, Leiris, Colette Peignot, André Masson, le surréalisme) et la philosophie.

Cahiers Leiris n°2, novembre 2009
« Méthode de la tauromachie », p. 245-276

Écrivain français, ancien professeur de philosophie, il a publié de nombreux ouvrages sur le surréalisme et assuré l’édition de documents inédits d’André Breton.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Breton, Bataille et la guerre d’Espagne », p. 133-154

Maître de conférences à l’Université des Postes et Communications de Nankin, Yanan Shen, née en 1986 en Chine, a obtenu sa première maîtrise de littérature générale et comparée à l’Université de Pékin en 2011. De 2011 à 2013, elle a fait ses études de master à l’UFR de Littérature française et de littérature comparée à Paris-Sorbonne. Depuis octobre 2013, elle continue sa recherche approfondie à l’École doctorale III « Littérature française et comparée » de Paris-Sorbonne sous la direction de Michel Delon. En 2018, elle soutient sa thèse sur « L’image de Sade dans le roman noir des années 1830 ». Elle participe avec intérêt aux activités de traduction et de recherche. Elle a publié la traduction chinoise de La Saga des reines de Jean des Cars ainsi que celle de Jean-Jacques Rousseau à vingt-ans de Claude Mazauric. Elle travaille actuellement sur la traduction de Sade de Chantal Thomas. Le livre sera publié aux Éditions de l’Utopie à Taïwan. Son article « Traduire Sade dans le monde chinois » est publié dans l’ouvrage collectif Pouvoir, censure et auto-censure, sous la direction d’Isabelle de Vendeuvre et Emmanuel Lincot (Classiques Garnier, 2018).

Cahiers Sade n°1, août 2020

Né sur les rives de La Mer au Milieu des Terres. En 2008, édition d’un recueil chez Publie.net : Cinéma parlé ; en 2013, aux Éditions de La Barque, Films en prose ; en 2014, aux Éditions Peigneurs de comètes, Nature morte au Cinéma ; en 2014, aux Éditions de la Barque, Abécédaire ; 2016, chez De l’Incidence Éditeur, Notes Monochromes ; 2016, Sharunas Bartas ou Les Hautes Solitudes, ouvrage collectif coédité par De l’Incidence Éditeur et le Centre Pompidou ; 2017, aux Éditions Le Pli, la Géode et l’Éclipse.

Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
« Le cheval et l’éclair », p. 155-164

Niketas Siniossoglou est Research Associate à la fondation nationale de recherche hellénique. Il est historien de philosophie antique et moderne, spécialiste de Platon, Nietzsche et de l’histoire de l’ésotérisme occidental. Doctorant à l’Université de Cambridge, il a obtenu la bourse postdoctorale de la British Academy. Il a été chercheur du Leverhulme Trust à King’s College London.

Cahiers Laure n°2, novembre 2019

La Portuguesa, Veracruz, México, 1963. Il est l’auteur de onze romans, traduits dans de nombreuses langues, et de livres de contes, d’essais et de poésie. Il est chevalier de l’ordre irlandais de Finnegans et membre du Sistema Nacional de Creadores de Arte de México.

Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
« L’œil et la peau », p. 195-208

De son vrai nom Philippe Joyaux, Philippe Sollers est né en 1936. En 1958, il devient célèbre en publiant son premier roman Une curieuse solitude. Il est un des fondateurs, en 1960, de la revue Tel Quel aux Éditions du Seuil et en devient rapidement le principal animateur avant de fonder, en 1983, L’Infini, revue et collection publiée par les Éditions Gallimard. En 1967, il épouse Julia Kristeva, psychanalyste, écrivain et sémiologue. Philippe Sollers fut entre autres un ami de Jacques Lacan, de Michel Foucault, de Louis Althusser et de Roland Barthes, qui sont décrits dans le roman Femmes ( 1983 ). Auteur d’une trentaine de romans, il est également connu pour ses essais en histoire de l’art et a écrit plusieurs monographies sur des artistes. Reposant essentiellement sur des éléments autobiographiques ou « autofictifs », son œuvre romanesque témoigne d’un rejet des structures narratives traditionnelles.

Cahiers Sade n°1 , août 2020

Romancier et critique, il est l’auteur de plusieurs essais sur Aragon (la Liaison délibérée, L’Harmattan, 1995, Aragon, l’inclassable, L’Harmattan, 1997). Il est actuellement directeur de la culture au sein du comité d’entreprise des industries électriques et gazières.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« L’inconnu de la rue de Varenne », p. 177-181

Formée aux Écoles des Beaux arts de Beaune, Dijon et Paris, elle pratique la sculpture et le dessin. Elle a participé a de nombreuses expositions collectives, en France et à l’étranger. En 1994, elle crée avec Jean-Marie Queneau les éditions de la Goulotte, basées à Vézelay, qui publient des livres d’artistes en linogravure, entièrement gravés et imprimés à la main.

Cahiers Bataille n°3 , novembre 2016
Illustrations d’ « Un monde habitable », p. 214-225

Assistante universitaire à l’Université de Bacãu (Roumanie), au département de français. Auteure de nombreux articles, ses recherches portent essentiellement sur la part de fiction dans la littérature, en particuliers dans la biographie.

Cahiers Leiris n°1 , novembre 2007
« La portée des éléments paratextuels dans les écrits autobiographiques leirisiens », p. 70-104
Cahiers Leiris n°2 , novembre 2009
« L’autobiographie leirisienne. Une écriture de soi au miroir de l’autre », p. 91-108

Auteur d’une vingtaine de livres, les uns appartenant à la littérature, les autres à la pensée, non sans chercher à faire que les uns et les autres appartiennent aux deux. Il a créé la revue Lignes qu’il continue de diriger, puis les éditions du même nom, en 2002. Il est membre du comité de parrainage des Cahiers Artaud et des Cahiers Bataille.

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« Nul ne sait au juste…», p. 9-11
« Felix culpa (Discussion sur le péché) », p. 37-58
Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Art aud / Haut art », p. 66-67

Ingénieur au Collège de France ( chaire de Théorie linguistique ) et à l’EPHE-INHA ( EA 73 47 ), responsable de la revue La Linguistique aux PUF, Prix Max Cukierman Elle est l’auteur d’un livre Le yidiche à travers la chanson populaire, Préface André Martinet ( Peeters, Louvain-la-Neuve, 1991 ) ; d’articles d’ouvrages collectifs et de revues: « Expression interlinguistique d’un affect : la peur à travers les langues », Hommage à Claude Hagège, ( L’Harmattan, Paris, 2007 ) ; « Le yidiche », Encyclopédie des langues, PUF, Paris, 2011 ) ; « Expression interlinguistique des ruines et poétique », Les Ruines, [ … ] de l’Antiquité à nos jours ( Campisano, Milan, 2013 ) ; « Composition et dérivation expressives en yidiche », Le langage de l’émotion : variations linguistiques et culturelles ( Peeters, Leuven-Paris-Bristol, 2017 ) ; « À travers les langues », L’Ennui, féconde mélancolie ( Autrement, n° 175, 1998 ) ; « Imaginaires toponymiques [ … ] autour de Paris », La Linguistique ( n° 45, 2009/2 ) ; « Langues cryptiques dans la sphère hébraïque et yidiche », Sigila ( n° 26, 2010 ).

Cahiers Aragon n°2, novembre 2019

T

Docteur en philosophie et agrégé de philos¬ophie, il a enseigné l’esthétique à l’université de Rennes 2 et à l’école des Arts décoratifs de Strasbourg. Producteur de documen¬taires à France Culture, membre fondateur de la revue Mouvement. Il est directeur de la collection « Essais » aux Solitaires intem¬pestifs, où il a publié une série de livres con¬sacrés aux « écrivains de plateau » – Roméo Castellucci, le Théâtre du Radeau, PippoDel¬bono, Anatoli Vassiliev, Rodrigo Garcia et le Théâtre du Soleil. Auteur de quatre livres sur Walter Benjamin, il a publié chez Actes Sud en 2009 la biographie du philosophe allemand (Walter Benjamin, une vie dans les textes). Depuis décembre 2013, il est directeur du pôle recherche de la direction de la création artistique, au ministère de la culture.

Cahiers Artaud n°2, octobre 2015
« Artaud, les latinos et les toxicos », p. 91-95

Chargée de cours titulaire à l’Université Dokkyo (Japon) au Département de Langue française.

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« La découverte de la pseudo-règle du jeu. “Ici fruit à la tête se dit : là on s’enlise” », p. 22-42

Il est professeur d’esthétique et de philosophie à l’Université d’Aix-Marseille. Écrivain, critique, traducteur, et directeur des éditions Chemin de Ronde, il écrit également pour des revues telles que la Polygraphe, Critique, Change, ou Po&sie. Passionné de jazz, il s’est énormément impliqué pour la publication d’œuvres autour de ce thème. Il est membre du comité de lecture du Cahiers Laure.

Comédien, chanteur, auteur et plasticien, Xavier Tchili se forme au Conservatoire d’Orléans. Il cofonde avec Éric Da Silva, en 1982, la compagnie Emballage théâtre, qui crée pendant dix ans des spectacles-performances dont il réalise les bandes-sons. Puis il travaille avec B. Sobel, J.P. Vincent, P. Minyana, R. Cantarella, S. Loukachevsky, C. Benedetti, R. Bouvier et A.C. Moser. En 1998 il intègre, dès l’origine, avec C. Boscowitz et F. Fachena, le Collectif 12, avec lequel il participe à de multiples créations et événements en tant qu’acteur et chanteur. Il y crée également des performances suivies d’installations notamment : Une semaine en vitrine et dernièrement Voyage en Lakamie. Parallèlement, il tourne pour la télévision et le cinéma, dont plusieurs collaborations avec Andrew Kötting (La Trilogie de la terre).
Depuis 2005, il poursuit une formation de chant lyrique au conservatoire. Il interprète le rôle de Mackie dans L’Opéra de quat’ sous en 2009. En 2010 à Varsovie, création de Glissando, spectacle musical contemporain de C. Garcia à partir de compositions de F. Chopin. Récemment il a joué sous la direction de Nicholas Kerszenbaum dans SODA et avec la compagnie Le T.O.C. Le Précepteur de Jakob Lenz, mise en scène Mirabelle Rousseau et Verfûgbar aux enfers, une Opérette à Ravensbrück de Germaine Tillon avec le Collectif 12 à Mantes-la-Jolie.

Cahiers Sade n°1, août 2020

Critique littéraire, essayiste et universitaire français. Après avoir participé à la revue Digraphe, dirigée par Jean Ristat, il est, depuis, professeur de langue et de littérature française à l’Université de Fukuoka (Japon).

Cahiers Bataille n°1, octobre 2011
« L’œil à l’œuvre : Histoire de l’œil et ses peintres », p. 197-220

Travaille sur la pop et la gnose, la magie noire et les petites choses sucrées. A coréalisé la série le Dispositif (cinquante-deux films) avec Thomas Bertay. Dernier livre paru : Soap Apocryphe (Éditions Inculte, 2012). Il évoque plus particulièrement Antonin Artaud dans l’Homme électrique – Nerval et la vie publié aux éditions MF en 2008.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Le troisième théâtre », p. 110-111
Cahiers Artaud n°3, septembre 2017
« Menu le double », p. 181-184

S’intéresse aux signes de la négation dans la littérature et au travail du négatif dans le réel. Auteur de poèmes et de contes. Il a reçu en 2002 le prix littéraire Jules Laforgue de la nouvelle.

Cahiers Laure n°1 , octobre 2013
« L’authenticité de l’expérience », p. 33- 40

Peintre français.

Cahiers Leiris n°3, mai 2012
« Une conversation bien tempérée » p. 37-45
« Portraits de Michel Leiris », p. 18, 36, 39, 40, 43, 44

Maître de conférences HDR à l’université de Reims, membre du Centre de recherches sur les modèles esthétiques et littéraires ( CRIMEL ), Alain Trouvé est spécialiste de littérature française du XXe siècle, mais aussi théoricien de la littérature et de la lecture. Il a publié notamment le Lecteur et le livre fantôme. Essai sur La Défense de l’infini de Louis Aragon ( Kimé, 2000 ), le Roman de la lecture ( Mardaga, 2004 ), la Lumière noire d’Elsa Triolet ( ENS Éditions, 2006 ), Nouvelles déclinaisons de l’arrière-texte ( Epure, 2018 ) et Lire l’humain ( ENS Éditions, 2018 ).

Cahiers Aragon n°2, novembre 2019

U

V

Peintre et dessinatrice, elle expose ses œuvres depuis les années 1990 en France et à l’étranger. Son travail est largement publié dans l’édition alternative. Elle est également illustratrice pour la presse et pour des éditions de littérature.

Cahiers Artaud n°1, octobre 2013
« Amour » p. 38, « Viva la merda » p. 51, « Fête des morts » p. 56, « la Part du diable I » p. 97, « Lions en croix » p. 180

Maryse Vassevière est maître de conférences hono­raire de l’université Paris 3-Sorbonne Nouvelle et chercheur au sein de l’APRES ( Association pour l’étude du surréalisme) présidée par Henri Béhar avec son site Mélusine  et au sein de l’Équipe Aragon de l’ITEM-CNRS et de l’ÉRITA ( Équipe de recherche interdisciplinaire sur Elsa Triolet et Aragon ). Ses travaux sont orientés vers les questions de l’intertextualité ( Aragon romancier intertextuel ou Les pas de l’étranger, L’Harmattan, 1998 ) et de la génétique, et prennent en compte la production journalistique d’Aragon considérée comme un avant-texte des romans ( organisation du colloque «Aragon et les Lettres françaises  » dont les actes sont publiés dans Recherches croisées Aragon-Elsa Triolet 14, 2013 ).

Cahiers Aragon n°2, novembre 2019

Ecrivain et poète belge. Depuis 1992 il est chargé de mission spéciale à la Promotion des Lettres françaises de Belgique. Il reçoit en 1995 le grand prix de l’humour noir pour Ridiculum vitae (éditions de La Différence, 1994), et le prix Robert Ganzo de Poésie en 2011 pour Poète bin qu’oui, poète bin qu’non ? (Gallimard, 2001).

Cahiers Leiris n°1, novembre 2007
« Hommage au capitaine Leiris », p. 11-12

Docteur en Lettres à l’Université de Nantes.

Cahiers Leiris n°3, mai 2012
« Une théologie du chromatique », p. 88-102

Elle enseigne la stylistique ainsi que les littératures française et brésilienne à l’Université de Pau. Ses recherches portent sur l’exploration des formes et la réception de la littérature française au Brésil (Genet, Leiris, Cendrars…)

Cahiers Leiris n°3, mai 2012
« A idade viril Un livre acte », p. 111-119
« Traduire l’Afrique fantôme, suivi de Le langage de Leiris est un défi, entretien avec Florence Ferrari », p. 121-128

Professeur émérite de langue et littérature françaises à Aix-Marseille Université, il s’est progressivement spécialisé en analyse linguistique des textes littéraires, et a écrit un certain nombre d’articles portant sur des auteurs tels que Rousseau, Jaccottet ou Duras. Il travaille actuellement essentiellement aux Dictionnaire Giraudoux et Dictionnaire Aragon, avant de bientôt se tourner vers la méditation sur les fins dernières de l’homme – et de la femme.

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« “Les larmes se ressemblent” », p. 137-144

Maître de conférences à l’Université de Poitiers et directeur de l’Équipe Aragon de l’ITEM (C.N.R.S.), il est l’auteur d’articles, d’ouvrages collectifs sur Aragon (Lire les Voyageurs de l’Impériale, PUR ; Aragon politique, PUS, 2001; Aragon et le cinéma, Nouvelles Éditions Jean-Michel Place, 2015) et la question du témoignage (l’Accréditation des discours testimoniaux, Éditions universitaires du Sud, « Champs du Signe, 2012). Ses travaux explorent également les territoires du surréalisme (le Surréalisme, Gallimard, 2004), de la bande dessinée et de la littérature numérique. Il est directeur de rédaction des Cahiers Aragon..

Cahiers Aragon n°1 , juin 2015
« Aragon dessinateur ou l’autre geste d’écrire », p. 149-160

W

Ancien libraire, il est aujourd’hui traducteur de l’espagnol (Alberto Laiseca, Miguel de Unamuno, Miguel Espinosa…) et de l’italien (Stefano D’Arrigo) et critique littéraire. Il a fondé et dirigé la revue papier de création et de critique Cyclocosmia, et a participé depuis ses débuts au site de critique littéraire en ligne Fric Frac Club. Enfin, depuis 2015, il codirige la collection de littérature française contemporaine « Grands Fonds » avec Mariette Navarro, chez Cheyne éditeur.

Cahier Artaud n°3, septembre 2017
Dessins, p. 221, 222, 229

Il a étudié à la Royal Holloway University (Londres) où il a fait son doctorat portant sur une étude comparative des vies de Michel Leiris et Hubert Fitche à travers leurs écrits. Ses domaines de recherches portent sur la littérature comparative, plus particulièrement les autobiographies et traductions dans les textes français et allemands modernes et contemporains. En 2009, il est nommé chercheur à l’Institut de d’Études Germaniques et Romanes. En 2014 il a enseigné à la University of Southampton. Il est traducteur.

Cahier Leiris n°1, novembre 2007
« Les débuts et les fins dans l’Âge d’homme : commentaire sur la chronologie et la cohérence », p. 132-157

X

Y

Professeur à l’Université Waseda de Tokyo, il enseigne la langue et la littérature française ainsi que la littérature japonaise. Il s’intéresse surtout à la poésie et à la critique de ces deux littératures au XXe siècle.

Cahier Bataille n°2, octobre 2014
« Deux lectures de Manet : Bataille et Foucault », p. 127-142

Z

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