Cahiers SADE
« Entendons-nous ; rien ne serait plus vain que de prendre Sade à la lettre, au sérieux. Par quelque côté qu’on l’aborde, il s’est à l’avance dérobé. Des diverses philosophies qu’il prête à ses personnages, on ne peut retenir aucune. »
Georges BATAILLE, la Littérature et le mal (1957)